Le Film
    Critique de Emmanuel  Galais
    
    
    
        
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            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                101 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	Sur le pont de Brooklyn, Bobby et Kate doivent prendre une importante décision. Les deux amoureux ont le choix entre deux possibilités, entre deux vies. Incertains, ils décident de laisser le hasard choisir pour eux, et jouent à pile ou face. 
Le cinéma dans sa généralité aime bien confronté les différentes possibilités d’une histoire dans des films puzzle. C’est le cas de « The Ways » où les réalisateurs décident de renforcer le trait en séparant les deux histoires en deux couleurs : Le bleu ou le jaune. Une idée intéressante qui permet au spectateur de mieux séparer les deux histoires. La mise en scène de David Siegel et Scott McGehee varie d’ailleurs suivant le dynamisme des deux environnements. Elle se fait plus voluptueuse, plus souple lorsque le couple vit sa vie tranquillement, dans une ligne plus conventionnelle, et se fait subitement plus brutale, avec des effets soignés lorsque l’environnement concerne la fuite. Voilà pour ce qui est de la forme. 
Sur le fond, maintenant, difficile de comprendre les tenants et les aboutissants que suivent les réalisateurs, puisqu’ils segmentent leurs deux histoires sans raison particulière, en l’occurrence, on ne comprend pas bien pourquoi le jeune couple décide de choisir entre l’une ou l’autre des extrémités du ponts. Difficile aussi de comprendre les raisons qui poussent les méchants à poursuivre le couple qui tente naïvement une certaine négociation avec les interlocuteurs pas très enclins à s’ouvrir à l’innocence. 
L’ensemble, alors qu’il apparaissait comme balisé, devient d’un seul coup très confus et l’on ne parvient jamais à réellement savoir où le réalisateur veut nous emmener. Une situation que semble partager la distribution qui part dans tous les sens, mais ne trouve jamais un ton résolument convaincant pour nous entrainer, dans son sillage. Joseph Gordon-Levitt (The Dark Knight Rises) court dans tout le film, fait usage de son charme pour essayer de nous faire adhérer, mais rien n’y change, l’actrice Lynn Collins (X-Men Origins) tente aussi par tous les moyens que sa palette de jeu lui permet de nous charmer ou de nous faire frissonner, mais rie n n’y fait, on se sent à l’écart, sans jamais se sentir impliquer dans une histoire qui reste confuse jusque dans le choix des personnages. 
En conclusion, si la mise en scène de Scott McGehee et david Siegel est soignée, que sa distribution fait tout ce qu’elle peut pour nous faire adhérer, le scénario confus et parfois maladroit laisse le spectateur à l’écart en permanence. 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                2.35:1
						
            
         
     
    
 
                            
	Le film jouant sur les couleurs et les contrastes pour donner corps aux ambiances, il fallait un transfert à la hauteur du film. Le résultat est à la hauteur de l'ensemble. Avec parfois quelques bonnes surprises, notamment les scènes extérieures de la banlieue New-Yorkaise où la lumière est parfaitement mise en valeur par le transfert.
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
5.1
Français                      
5.1
 
                            
	Une piste DTS 5.1, qui tient ses promesses, les ambiances sont reconstruites avec beaucoup de brillance. La piste 5.1 fait des merveilles avec une belle spatialisation, une dynamique assez bien équilibrée et un surround assez discret pour ne pas se faire trop hors sujet, mais pour savoir donner un certain volume lorsque cela est nécessaire.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                20 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Pas de Bonus !
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
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