Bravely Second : End Layer

Explorez à nouveau les contrées de Luxendarc et sauvez Agnès des griffes du Kaiser Oblivion en compagnie de vieux amis et de nouveaux alliés ! Affrontez vos ennemis à l'aide d’un système de combat au tour par tour riche et dynamique, personnalisez votre groupe en associant différentes classes et compétences et utilisez StreetPass pour reconstruire Moonhold !

Comme nous le comprendrons très vite, « Bravely Second : End Layer » reprend la suite du scénario de « Bravely Default », considéré comme l‘un des meilleurs jeux de RPG qui existe, notamment par une structure un peu à l’ancienne qui lui donne toute sa qualité et sa grandeur. « Bravely second » en prend donc la suite. Agnès est enlevée par le Kaiser malgré la présence de Yew, Janne et Nicolaï. Les trois compères vont donc devoir surmonter la surprise et la peur pour aller affronter cet ennemi puissant. Chacun possédant son propre caractère, l’aventure promet de belles surprises et une qualité de jeu qui n’aura rien à envier aux prédécesseurs.

A l’aide d’une carte, pas de grandes surprises pour la prise en main, on explore de grandes zone dans tout Luxendarc à la recherche de coffres et dans le but d’atteindre l’objectif clairement fixé. La réalisation y est toujours soignée et cela apporte un certain intérêt au jeu même si ce n’est pas ce qui procure le plus de plaisir. Pour enfin s’amuser, il va falloir se lancer dans des combats. Car comme dans la précédente version, le principe du combat consiste toujours à comprendre le fonctionnement de son ennemi pour mieux le mettre à terre. Une observation rendue possible par la commande Default qui permet d’accumuler des tours de jeux pour ainsi apprendre de ses erreurs.

D’ailleurs pour gagner de la force et de l’expérience, le jeu permet également d’affronter plusieurs monstres d’affilés afin de mieux pouvoir progresser dans l’aventure et ainsi d'arriver au bout de sa quête. Parlons également des Job, l’une des marques de fabriques de « Bravely ». Chaque personnage possède une capacité propre, mais peut obtenir une capacité spéciale d’un job secondaire. Il est possible de récupérer 30 jobs dont 12 sont totalement inédits dans la licence comme l’escrimeur, qui permet de bénéficier de bonus ou encore l’aurige qui voit l’efficacité de ses armes s’améliorer pendant les combats.

En conclusion, « Bravely Second : End Layer » est un successeur de « Bravely Default » qui n’a pas à rougir, bien loin de là. Le jeu offre de belles surprises et de belles améliorations sans pour autant nuire à l’image de cette licence qui est l’une des plus marquante de ces dix dernières années.

Visuellement très beau, le jeu surprend par la qualité de ses graphismes et particulièrement dans les cinétiques qui viennent séquencer le jeu. Et même si certains arrières plans ou certains détails perdent en précision du fait de la dimension de la console, le résultat est tout de même bluffant de qualité.

La qualité des dialogues et particulièrement des voix est à noter sur ce type de support, tant elle surprend. Et même si vous n’avez le choix qu’entre la version japonaise ou la version Anglaise, le plaisir est tout de même là.

Pas de bonus