Le Film
Critique de Jean-Luc Richter
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
52 min
Nb Dvd
1
Dingo
Dingo apparaît en 1932 dans "Mickey's Revue" sous les traits d'un clochard nommé Dippy Dawg. Plus tard, il sera rebaptisé Goofy et fera de temps à autre des apparitions dans les dessins animés de Disney, seul ou accompagné de Mickey.
Les années 60 révèleront le côté super héros de Goofy, qui se transforme en Superdingo dès qu'il mange des cacahuètes magiques. Récemment, Dingo a retrouvé un peu de jeunesse avec la série "La bande à Dingo" et surtout son premier long-métrage intitulé "Dingo et Max". Par ailleurs, on a pu découvrir que Dingo avait un fils mais pas de petite amie.
Les courts métrages
- Leçon de ski (1941 : The Art of Skiing)
Dingo nous apprend, à sa manière, la bonne manière pour faire du ski, enfin pour descendre de la montagne !
- Dingo va à la pêche (1942 : How to Fish)
Toujours dans son rôle de professeur maladroit, Dingo nous apprend la pèche.
- Dingo et Wilbur (1939 : Goofy and Wilbur)
Dingo veut se servir de son ami Wilbur, un criquet, pour appâter le poisson.
- Attention fragile (1941 : Baggage Buster)
Dingo est bagagiste et doit mettre la malle d’un magicien sur un train, mais la malle n’entend pas se laisser faire.
- Dingo et le lion (1951 : Lion Down)
Pour pouvoir installer un hamac dans son jardin, Dingo a rapporté un arbre de la forêt, mais cet arbre comporte un lion qui est bien décidé à prendre la place de Dingo sur le hamac.
- Dingo et Dolores (1948 : The Big Wash)
Dingo est engagé dans un cirque où il doit s’occuper de l’éléphant Dolores.
- Comment être un bon nageur (1942 : How to Swim)
A nouveau dans son rôle de professeur maladroit, Dingo nous apprend cette fois à nager.
Critique subjective
On retrouve avec plaisir les aventures du maladroit Dingo. Intemporelles, ces histoires n’ont rien perdu de leur charme et les gags font toujours rire petits et grands.
Il est tout de même regrettable qu’il n’y ait pas davantage d’histoires sur ce DVD, car moins d’une heure ça paraît vraiment très court. Les interviews d’enfants qui affirment, dans toutes les langues, aimer Dingo, n’étaient pas non plus très utiles, sauf pour faire du remplissage.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
4/3 couleur
Format Cinéma
1.33:1
Malgré leur âge, ces dessins animés présentent globalement une image satisfaisante. On remarque bien, ici et là, quelques tâches et quelques rares problèmes de compression, mais cela ne vient pas gâcher le spectacle. Au niveau des couleurs, le résultat est très variable d’un dessin animé à l’autre, mais les couleurs sont plutôt douces et peu agressives. Sans doute dû au temps, cet effet colle tout de même assez bien avec l’esprit d’ensemble de ces histoires.
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Anglais
2.0
Le DVD offre plusieurs pistes sonores dont une piste française en Dolby Digital 2.0.
Cette piste est de bonne qualité, même si elle manque de spatialisations. L’origine monophonique de ce son explique sans doute ce manque qui ne gène en rien le visionnage de ce programme. Les dialogues sont assez rares car l’essentiel est axé sur la musique et les animations. La dynamique d’ensemble n’est pas non plus extraordinaire, mais cela ne gênera sans doute pas les enfants, qui sont le public visé par l’éditeur.
Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
10 min
Boitier
Amaray
L’éditeur, Buena Vista, ne nous propose qu’un seul bonus :
Qui perd gagne
Dans cette (fausse) loterie, chaque tirage gagnant donne droit à une image de Dingo et à une petite anecdote sur le personnage. On se lasse très vite de ce petit programme en forme de faux jeu !
Bonus

Livret

Bande annonce

Biographies

Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

Galerie de photos

Story board

Multi-angle

Liens internet

Interface Rom

Jeux intéractifs

Filmographies

Clips vidéo

Bêtisier

Bonus Cachés

Court Metrage