Beverly Hills 90210 Saison 3

Genre
Pays
USA (1993)
Date de sortie
jeudi 21 mai 2009
Durée
999 Min
Réalisateur
Producteurs
Darren Star
Scénaristes
Divers
Compositeur
John E. Davis
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Oui
Oui
Non
Français
Oui
Oui
Non
Danois
Oui
Oui
Non
Finnois
Oui
Oui
Non
Néérlandais
Oui
Oui
Non
Norvégien
Oui
Oui
Non
Suédois
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Coffret
Label
Zone
2
Durée Film
999 min
Nb Dvd
8

C’est la dernière année au lycée de Beverly Hills. Brandon, Brenda, Dylan, Kelly, Donna, Andréa, David et Steve n’ont jamais été aussi proches et s’apprêtent à prendre des décisions cruciales pour leur avenir.

On pourrait dire aussi que cette troisième saison est aussi celle du changement, et même du grand n’importe quoi, parfois ! Comme en l’occurrence ce voyage à Paris qui, dans les premiers temps semble être l’occasion idéale pour défaire ce qui avait été noué dans la saison précédente. Mais c’est surtout aussi une vision totalement archaïque de notre pays, qui même sans être chauvin finit très rapidement par agacer. Notamment dès le départ avec l’intervention du chauffeur de taxi grognon et fumeur, puis des images intermédiaires datant des années 70, ou encore des décors aussi crédibles qu’une montre au poignet d’un gaulois, et j’en passe et des meilleures. L’image est désastreuse, et rend du coup les premiers épisodes définitivement peu crédibles et par ricochet peu intéressant, car on ne croit ni aux romances naissantes, ni aux ennuis des protagonistes.

Pour le reste de cette troisième saison, les scénaristes tentent un renouveau, en mélangeant les genres et en faisant naitre des tentations dans les pattes de nos richissimes héros. Donnant ainsi, du grain à moudre pour les personnages principaux et particulièrement Brenda et Dylan qui connaitront un véritable cyclone dans leurs relations. Mais cette fois-ci, les thèmes abordés seront aussi plus consistants, plus profonds. On y verra ainsi des sujets aussi variés que : Le racisme, le Handicap, l’addiction, les jobs d’été, etc.…Cette nouvelle année se décide à parler d’autres sujets que le quotidien bien rangé de nos héros, mais plutôt de problèmes de société en pleine mutation.

Alors ne nous affolons pas non plus, « Beverly Hills saison 3 », n’est pas une œuvre philosophique. La série n’a pas changé la face du monde, mais a eu le mérite de tenter une approche différente et d’amener ses héros autant que ses fans à se poser les bonnes questions. Et même si les ficelles utilisées sont parfois un peu simplistes, elles ont le mérite d’utiliser la série différemment.

En conclusion, cette troisième saison oscille entre ridicule et renouvellement, entre banalité et faits de sociétés. Une nouvelle année qui amorce des changements radicaux dans les intrigues à suivre. Dommage que le ridicule des premiers épisodes gâche dès le départ la fête.   

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.33:1
Pas de grands changements par rapport aux saisons précédentes. L’image est désastreuse, avec des couleurs fades, des contrastes pratiquement inexistants, un grain omniprésent. En un mot : Catastrophique !

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Anglais
1.0
Alors là attention ! On n’avance décidemment pas du tout. Une piste stéréo désastreuse. Des dialogues crachoteux, une musique blafarde et une spatialisation aussi bien réglée qu’une omelette baveuse. En un mot : Désastreux !

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
30 min
Boitier
Coffret
Pour commencer « 7 minutes au paradis », qui n’est autre qu’un best of des grands moments de cette saison 3. A ne surtout pas regarder avant d’avoir vu tous les épisodes ! Pour l’intérêt : 0. Ensuite la série vu par Joe E. Tata : Nat le boss du Peach Pit, qui ne  cesse de dire que tout le monde était génial et qu’il croulait d’amour pour tout les acteurs. BOF ! Enfin la seule bonne idée des bonus : « Tout ce que vous devez savoir sur la saison 3 »,  une vision décalé à l’extrême qui n’hésite pas l’ironie sur certains passages, comme celui de Paris. 
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage
7 minutes au Paradis