La panthère rose 2

Titre Original
The Pink Panther 2
Genre
Pays
USA (2009)
Date de sortie
mercredi 26 août 2009
Durée
85 Min
Réalisateur
Producteurs
Robert Simonds
Scénaristes
Steve Martin, Scott Neustadter et Michael H. Weber
Compositeur
Christophe Beck
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Oui
Oui
Non
Français
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
85 min
Nb Dvd
1

Un dangereux malfaiteur, sévissant sous le nom de « Tornado », s’empare des plus importantes reliques des musées Mondiaux. Les plus fins limiers , se lancent à sa poursuite. Et lorsque « Le Tornado » s’empare de « La panthère rose », l’inspecteur Clouseau rejoint la « dream Team ».

Au pays des suites il ne fait pas toujours bon se précipiter. Et « La panthère Rose 2 » en est malheureusement un nouvel exemple. Car côté scénario tout d’abord, on ne flirt pas avec l’originalité, loin de là. Côté clichés, nous sommes toujours autant servis, et enfin côté humour, Steve Martin avait, dans le passé, été certainement mieux inspiré que là.

Prenons le côté scénario, la trame principale qui consiste à courir après un dangereux malfaiteur, laissant ainsi toutes les possibilités de gags à foison, ne manque pas d’intérêt, mais plutôt sérieusement de volume. Dès le départ les ficelles se découvrent, et l’on n’arrive jamais totalement à se passionner pour cette enquête, dont on finit par se fiche comme de sa première culotte. Mais on pourrais argumenter que le grand intérêt de ce film réside principalement dans les gags provoqués par le personnage de Clouseau, mais il n’en n’est rien, car une majorité de ces gags arrivent comme un cheveux sur la soupe et ne semble pas avoir trouver une place idéale dans le scénario.

Et si l’on rit parfois des situations, comme la scène des bouteilles de vins, où le départ surprend et fait rire, la durée du gag fait retomber le soufflet et finit par ne provoquer qu’un simple bâillement. Steve Martin (Le père de la mariée) s’embourbe dans des gags assez mal maitrisés dans l’ensemble et finit par ennuyer. Même Jean Reno (Léon) ne parvient pas à sauver l’ensemble, son jeu est maladroit et l’on sent le comédien mal à l’aise dans son rôle de gentil gendarme, un peu candide.

Enfin, côtés clichés, on garde les mêmes et on recommence, les français sont grognon et arrogants, ce qui ne facilite pas la tâche des autres membres de l’équipe d’enquêteurs Internationaux, qui sont tous, à leur manière, des clichés de leur pays. Relativement assez lourd dans l’ensemble, surtout lorsque l’inévitable accordéons ne cesse de représenter la France. Mais ces clichés, deviennent aussi un point positif dans l’ensemble, car le réalisateur Harald Zwart (Divine mais dangereuse) a décidé de représenter un Paris de carte postale, à la fois moderne et complètement anachronique, pour créer le Paris de Clouseau. Et de ce point de vue là, c’est une réussite totale, car Paris n’a jamais été aussi joyeusement représenté que dans ce film.

En conclusion, « La Panthère Rose 2 », ne brille ni par son originalité, ni par la finesse de ses gags, mais plutôt par la surprenante interprétation qu’il fait de notre capitale.

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Une image forcément très belle qui prend tout son sens dans les couleurs chaudes des beaux quartiers de Paris ou du Château de Ferrières. Les contrastes donnent une véritable profondeur à l’ensemble et les couleurs sont de très bonnes tenues. Une véritable réussite !

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Anglais
5.1
Une piste 5.1 finalement assez bien équilibrée, même si parfois les dialogues souffrent d’un léger décalage avec l’ensemble. La spatialisation ne manque pas d’intérêt et la dynamique de l’ensemble donne une véritable plongée dans les aventures de cet inspecteur maladroit et infantile.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
35 min
Boitier
Amaray
Un bêtisier assez convenu qui ne fait pas plus sourire que le reste du film, plus un making of sous forme de deux mini-reportages : La Dream Team et Les dangers de la comédie. Un peu léger tout de même.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage