Le Film
    Critique de Emmanuel  Galais
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Coffret
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                530 min
            
            Nb Dvd
            
                5
            
         
     
    
 
                            
	Le quotidien d’un groupe d’employés de bureau dans une fabrique de papier en Pennsylvanie. Michael, le responsable régional, pense être le mec le plus drôle du bureau. Il ne se doute pas que ses employés l'apprecient uniquement parce que c’est lui qui signe les chèques.
 
Et cette nouvelle saison, n’est pas encore décidée à prendre de grands risques, bien au contraire. Elle se repose sur ses acquis et fait fructifier le capitale sympathie en insufflant de temps à autres des petites surprises, tant dans la venue parfois de guest star, que dans la redistribution des cartes pour mieux donner un souffle nouveau à la série. 
Pourtant, le constat parait évident, au bout de la 7ème saison, la série commence à montrer des signes de faiblesses, et la carrière au cinéma de Steve Carell, n’aide pas non plus à rentrer totalement dans la série. Et même si le jeu de la redistribution reste toujours le meilleur moyen de donner un souffle nouveau aux aventures de nos héros, il n’est toutefois pas forcément suffisant pour réellement répondre à l’attente du public. 
Si chaque épisode réserve son lot de situation cocasses et de sous-entendus bien pensés, ils n’en demeurent pas moins une énième redite des saisons précédentes où le cynisme lattant d’un bureau administratif de société apparait au grand jour. L’ensemble a gardé un ton résolument acide, avec des personnages aiguisés et tranchants comme des lames de rasoirs, mais le temps et le succés nous les ayant fait connaitre, il est difficile de leur trouver de nouvelles excuses. 
Steve Carell (Evan tout-puissant) est d’ailleurs symptomatique de la perte d’intérêt que suscite cette septième saison, qui était un remake US d’une série anglaise dont la particularité résidait dans le fait d’appuyer sur les côtés sombres des personnages pour mieux nous faire rire, de la même manière que des séries telles que « Skins » ou « Shameless » le firent dans leurs genres. L’acteur principal ne semble plus trouver l’inspiration originale qui lui permettrait de nous surprendre. Il joue en permanence le rôle de cet idiot sympathique, catapulté chef de service mais dont la naïveté face à son équipe, lui fait croire qu’il puisse être apprécié par ses collègues. 
En conclusion, cette septième saison de « The Office » souffre d’un renouvellement qui ne semble pas décidé à venir. Et même si les scénaristes ont décidé de redistribuer les cartes pour tenter un revival, l’ensemble ne peut empêcher un sentiment de déjà vu presque logique. 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.77:1
						
            
         
     
    
 
                            
	Un peu granuleuse, l'image qui vient servir cette série, n'est toutefois pas sans qualité. Les couleurs sont impeccables et les contrastes donnent une véritable profondeur à l’ensemble. Un traitement à la hauteur pour une série qui sait jouer sur les ambiances monocordes des bureaux, sans toutefois faire dans le sensationnel. 
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
2.0
Français                      
2.0
 
                            
	Une piste 2.0 totalement cohérente. L’ambiance est un peu discrète mais la dynamique de la série profite agréablement d'une qualité irréprochable. Une piste 5.1 aurait été beaucoup trop disproportionnée et inutile. La spatialisation est étonnante de qualité pour un tel programme.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                20 min
            
            Boitier
            
                Coffret
            
         
     
    
 
                            
	Quelques Scènes coupées et un bêtisier, les bonus ne font pas dans l'originalité.
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
            Fin alternative
 
     
    
        
            
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            Court Metrage