NEW GIRL SAISON 1

Genre
Pays
USA (2013)
Date de sortie
mercredi 23 janvier 2013
Durée
528 Min
Réalisateur
Producteurs
EliZabeth Meriwether
Scénaristes
Divers
Compositeur
Divers
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Non
Anglais
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Coffret
Label
Zone
2
Durée Film
528 min
Nb Dvd
3

Jess Day, une jeune femme naïve et étrange, est malheureuse en amour depuis que son petit ami l’a trompée puis quitté. Elle s’installe alors en colocation avec trois garçons un  peu attardés. Parviendront-ils à lui redonner le sourire ?

 

Quand une petite série sans autre prétention que celle de divertir en s’inspirant d’une autre telle que « Friends », fait son apparition on ne peux que tendre l’oreille. Et pour le coup, « New Girl » est un bonne surprise. Car effectivement, elle reprend la recette qui fit le succès de la bande de Jennifer Aniston et Matt Leblanc : des amis en colocation partagent leurs succès et leurs échecs sentimentaux et professionnels. Mais d’ores et déjà la comparaison s’arrête là, car dès les premières répliques on se rend vit compte que « New Girl » va plutôt jouer la carte des répliques marquantes, parfois à la limite du hors jeu, mais faisant mouche à chaque fois. Avec un sens du rythme qui sont la marque des meilleures séries écrites avec soin. Ici rien n’est laissé au hasard, les dialogues sont simples, mais particulièrement efficace, y compris dans les moments de replis. Comme lors de l’épisode de Noel où chacun des personnages s’évertue à retrouver une vie simple et rêvée.

 

D’ailleurs côté distribution, le choix est idéal : Zooey Deschanel ((500) jours ensemble) forme avec les autres comédiens : Max Greenfield (Super Hero Family), Jake M. Johnson (21 Jump Street), Lamorne Morris (The Middle) et Hannah Simone (H+) une équipe solide, dotée d’une fraicheur réellement bienvenue. Les acteurs de la série ne font pas dans la caricature absolue comme cela était parfois le cas dans « Friends », bien au contraire, ils maitrisent tous avec beaucoup de brio la carte de la douce ambigüité qui donne aux personnages un résonnance particulière dans l’esprit du spectateur. Et cette fraicheur de jeu donne tout son sens à la réussite de « New Girl », car sans renouveler le genre l’intelligence sa mise en scène finit par toucher son but :  créer de l’intérêt dans l’esprit du spectateur.

 

En conclusion, « New girl » est une série qui, à l’image de son générique, joue la carte de la simplicité, mais de l’écriture particulièrement bien ciselée pour faire mouche dans chacune des répliques qui la composent. La qualité de la distribution donne tout son sens à l’ensemble, notamment toute la fraicheur qui en fait son charme. Une nouvelle réussite d’Elisabeth Meriwether déjà à l’origine du scénario de « Sex Friends ». A voir et à revoir sans modération tant la série fait du bien.

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.78:1

L’univers de la série s’approche en bien des points de celui de sa grande sœur : « Friends », avec des couleurs un peu effacées et parfois très pastelles. L’ensemble ne semble pas en souffrir, même constats concernant, les contrastes, ils  permettent de mieux renforcer le trait des profondeurs de champs et certaines pigmentations ressortent avec beaucoup plus de précision.


Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
2.0
Français
2.0

La piste 2.0 se remarque par la mise en ambiance. Si la répartition est très en avant elle ne manque toutefois pas de précision, et entraine ainsi beaucoup mieux le spectateur dans les méandres des aventures de nos héros. La spatialisation est brillante et les dialogues sont particulièrement bien mis en valeur.


Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
45 min
Boitier
Coffret

Les commentaires audio de l’équipe du film, assez complémentaires avec l’ensemble de la série. On arrive à ressentir une certaine complicité entre les comédiens qui n’hésite pas à disserter sur les relations entre trois garçons et une fille en colocation et sur l’importance de s’assumer sexuellement avec son ou sa partenaire. L’équipe partagera sur le troisième dvd, d’ailleurs ses envies et quelques petits secrets concernant la prochaine saison.

 

On pourra aussi découvrir un petit documentaire, emmené par la créatrice Elizabeth Meriwether et son producteur Dave Finkel qui reviennent sur l’évolution d’un épisode et plus particulièrement des personnages autour d’une intrigue finalement assez commune.

 

Puis une visite, un peu conventionnelle, il faut bien le dire, mais qui colle bien à l’esprit de la série dans : « le dressing de Jess ».

 

On continue sur le deuxième dvd avec les auditions de Lamorne Morris (le personnage de Winston Bishop), où on voit le comédien prendre dès le départ les marques de son futur personnage.

 

Puis une série de blagues, qui ressemble plus à un bêtisier qu’à quelque chose de réellement soigné.

 

Puis des scènes coupées ou alternative qui viennent clore en beauté l’ensemble de cette section bonus plutôt bien pensées pour une petite série sans prétention.

Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage