Le Film
    Critique de Emmanuel  Galais
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                99 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	Une bande d’amis remonte le temps jusqu’en 1986, grâce à un jacuzzi. Une période trouble de leur adolescence. 
Bon, et bien il ne me restait pas beaucoup de cheveux, maintenant je suis chauve. Car si ce film (Ca me pince la neurone de dire ce mot, en le visionnant) était sensé être drôle, le résultat est affligeant de débilité et de vulgarité sans aucun relief. On pourra toujours se poser la question du niveau d’intelligence tel que « Borat » ou encore « American Pie », mais « Very Hot Tub » est encore loin en dessous du niveau acceptable de la débilité humaine. Surfant sur les vagues de « Very Bad Trip » avec sa bande de copains un brin dégénérés partis pour se saouler, qui se réveillent dans une situation qui les dépasse. 
Ici, après avoir passé une soirée à boire plus que de raison dans un jacuzzi, trois copains et un neveu frustré se retrouvent propulsés dans les années 80. Récupérant un corps d’adolescents, les trois camarades doivent revivre leur passé et y faire les modifications qui s’imposent. Lesquels ? En fait on s’en fiche….Car dès le départ le scénario offre un spectacle pathétique, où Craig Robinson débouche un anus de chien et Rob Corddry (Jackpot) accumule les repliques vulgaires, y associe les gestes et marque les jalons d’un désastre annoncé. Car il ne suffit pas de dire des grossiertés pour être drôle, encore faut il avoir un minimum de finesse et un scénario construit. Dans le cas présent on commence à espérer un sursaut lorsque les personnages sont transportés dans les années 80, mais en fait non, on jette l’éponge au bout de 20 minutes. 
La réalisation n’arrange rien ! Car Steve Pink, producteur de « Night and Day » est aussi délicat qu’un régiment de chipolatas dans une barquette célophanée. Sa mise en scène accumule les caricature du genre, certaines scènes, comme celle de l’écureuil, sont aussi amusantes qu’un meeting politique en plein cœur du Berry (Encore que les meetings, des fois réservent des surprises !). Rien à garder, tout à jeter, et même pire, car voulant s’amuser à replonger dans une comédie graveleuse sur fond de nostalgie des années 80, le réalisateur ennuie, et fait s’éffondrer de douleur le spectateur qui espérait passer un bon moment. 
Et inutile d’épiloguer sur les prestations des comédiens aussi douteuses que dénuées d'inspiration. A commencer par John Cusak (Minuit dans le jardin du bien et du mal), affligeant, inutile et sans aucun volume. L’ensemble de la distribution se perd dans un film que même Max Pecas aurait renié. Les scènes grossières s’accumulent et même l’apparition de Chevy Chase (Last Action Hero) en réparateur mystique, ne parvient pas à sauver du nauffrage cette comédie débile sans aucune consistance. 
A fuir de toute urgence ! 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                16/9 anamorphique couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.85:1
						
            
         
     
    
 
                            
	Une image soignée avec des couleurs particulièrement bien tenues. Les contrastes donnent une véritable profondeur à l’ensemble Le support est d’une grande efficacité pour donner un véritable volume aux ambiances, et sauver du désastre total cette comédie sans intérêt.
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais                       
5.1
Français                      
5.1
 
                            
	Une piste 5.1, qui tient ses promesses, mais qui souffre d’un léger surgonflage en basse, particulièrement dans les parties musicales ou encore celle du jacuzzi. Pour le reste la spatialisation reste cohérente, même si les dialogues sont parfois un peu en retrait. La dynamique reste honnête mais ne parvient pas à sauver du désastre ce film nul et sans intéret.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                30 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	Et le pire dans tout ça c’est que l’éditeur nous propose une version longue et des scènes inédites. Réellement à fuir de toute urgence. Toutefois l’idée des bonus était bonne , mais le film non !
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
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