Parenthood : Saison 1

Genre
Pays
USA (2010)
Date de sortie
mardi 7 juin 2011
Durée
504 Min
Réalisateur
Producteurs
Jason Katims
Scénaristes
Divers
Compositeur
Divers
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Oui
Anglais
Oui
Oui
Oui
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Coffret
Label
Zone
2
Durée Film
504 min
Nb Dvd
4
Le quotidien des Braverman, une famille du Middle West, Sarah, Adam, Crosby, et Julia, quatre frères et sœurs partagent les joies, les peines et les épreuves que leur réserve la vie.

Inspiré du film remarqué de Ron Howard qui suivait déjà les tribulations d’une famille américaine moyenne, avec tout ce que cela comporte de joies, de peines, de rires et de larmes. Après avoir travaillé sur différentes séries telles que « Roswell » ou encore « Friday Night Lights », le producteur Jason Katims se lance dans la série sentimentale en adaptant la comédie portée à bout de bras par le couple Steve Martin et Diane West. Etirée sur la longueur, l’histoire reste toutefois la même que dans bon nombre de programmes identiques où les familles évoluent au grès d’intrigues sentimentales s’interrogeant de manière quotidienne sur les valeurs de la société, au travers d'histoires simples et parfois même simplistes.

Sans faire preuve d’une originalité confondante, la série se suit avec un intérêt certain. On plonge sans aucune honte dans chacun des épisodes, sans réellement y trouver une certaine valeur ajoutée mais avec suffisamment de maitrise pour ne pas lâcher l’histoire avant la fin de la saison. Comme d’habitudes les personnages sont attachants, j’ai une certaine préférence par exemple pour Crosby le jeune frère, un peu en marge, qui se révèle d’une grande sensibilité au fur et à mesure que les épisodes s’égrènent. Les scénaristes n’en font pas plus qu’à l’habitude et cela suffit à notre plaisir.

Bien évidemment, la réalisation se veut classique, parfois maladroite dans son montage d’ailleurs, avec des plans fixes, des lieux de repérages, des successions de plans serrés dans les dialogues et ainsi de suite. Rien de particulièrement original, mais une efficacité déjà bien souvent utilisé pour faire ses preuves, et tout cela contribue finalement au succès de la série dans nos esprits, puisque chacun y trouve son compte en toute simplicité .

Même chose pour la distribution qui ne semble pas décidé à en faire des tonnes et encore moins de briguer la moindre récompense : Comme Peter Krause (Six Feet Under) par exemple dont la prestation est toujours aussi impeccable, même si elle manque de volume et de finesse. L’acteur maitrise son personnage et ne cherche pas à le faire briller un peu plus que demandé, ou encore Dax Shepard (When in Rome) qui s’amuse de ce rôle de jeune frère un peu décalé, en donnant une énergie bienvenue dans la série.

En conclusion « Parenthood » est une série honnête qui ne cherche pas l’originalité à tout prix mais qui a le mérite de capter l’attention du spectateur pour mieux nous entrainer dans les aventures sentimentales de la série. Agréable sans être remarquable !
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Une image soignée qui joue sur le grain et sur les couleurs pour mieux imprégner le spectateur. Les contrastes sont de très bonne tenues et donnent une réelle profondeur à l’ensemble. Les couleurs quand à elle gardent une véritable identité servant à merveille les besoins de la réalisation.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
5.1
Français
5.1
Une piste 5.1 qui ne brille pas par une originalité à toute épreuve. Pas d'effets sonores ni d'ambiance particulier, simplement une mise en condition honnête pour pouvoir profiter pleinement de la série. Pas de quoi donc crier au sacrilège ni à la faiblesse, la piste sonore qu'elle soit en VO ou en VF est à la hauteur de la série.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
30 min
Boitier
Coffret
Les commentaires audio de l'équipe qui reviennent sur certains épisodes, sur les choix opérés autant que sur l'évolution des épisodes dans l'intrigues. On n'apprend rien de capital, sinon la construction d'une série inspirée d'un film.  Puis des scènes coupées pour prolonger l'intrigue et un reportage un peu trop conventionnel sur les façons d'apprendre à connaitre sa famille.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage