Retour Vers Le Futur Trilogie

Titre Original
Back To The Futur Trilogy
Pays
USA (1985)
Date de sortie
dimanche 8 décembre 2002
Durée
335 Min
Réalisateur
Avec
Producteurs
Steven Spielberg, Bob Gale
Scénaristes
Robert Zemeckis, Bob Gale
Compositeur
Alan Silvestri
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Français
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de Ubik
Editeur
Edition
Collector
Label
Zone
2
Durée Film
335 min
Nb Dvd
3


Marty est un jeune lycéen plein de promesses et de rêves. Peu assidu aux études, il s’attire les reproches de ses supérieurs et échoue avec son groupe à l’audition musicale annuelle de son lycée. Mais pour le moment, rien de tout cela ne compte vraiment : dans deux jours, il pourra embarquer sa belle en montagne pour un petit camping intime qu’il prépare depuis quelques temps, au grand secret de sa mère qui ne tolérerait jamais cette sortie romantique! C’était pourtant sans compter sur Biff, le supérieur de son père George, qui vient de démolir la 4X4 familliale indispensable à ce voyage en nature. Cependant, rien n’est perdu car Marty est convié à assister aux tests de la toute nouvelle invention de son ami, le farfelu Docteur Emmett Brown, qu’il surnomme affectueusement Doc. Marty ne se doute alors absolument pas que l’incroyable trouvaille de ce vieux professeur, une DMC-12 DeLorean modifiée en machine à voyager dans le temps, va définitivement bouleverser sa vie...

 

 Si la trilogie Back To The Futur est toujours passionnante aujourd'hui parce que drôle, caustique, intelligente et bien plus encore, ce n'est pas seulement parce qu'elle a su toucher toute une génération de cinéphiles en son temps, qui continuent contre vents et marées de véhiculer le mythe, mais bien parce qu'elle sous tend et comprend, très explicitement, les vertus, les qualités, les enjeux - aussi bien mécaniques que thématiques - qui ont fait (et qui font toujours) le succès de deux cinéastes totalement investis dans le projet : Steven Spielberg et bien évidemment Robert Zemeckis. Pierre blanche donc dans les carrières respectives de ces deux hommes de talent, Back To The Futur est aussi, à la base, un projet insensé, complètement délirant et techniquement très - très - impressionnant qui n'a pas trouvé de véritable équivalent en nos temps récents, exception faite peut être de la saga entreprise par les frères Wachowski (Matrix) et - à la limite - par le défi Lord Of The Ring de Peter Jackson, bien que le projet du cinéaste néo zélandais relève davantage d'un pari plutôt figuratif (de la difficulté d'adapter les trois pavés de Tolkien) que d'enjeux vraiment techniques.

 

On le sait; à de multiples occasions, Steven Spielberg a initié et s'est associé à des cinéastes tiers pour monter des projets. A l'exception de deux-trois personnalités (Joe Johnston par exemple, parfait faiseur et artisan hollywoodien mais sans envergure ou style véritable), Spielberg s'est attaché à des figures importantes et plutôt brillantes du cinéma américain. On pourrait en prendre pour preuve sa collaboration infructueuse même si finalement réussie - les cinéastes partageant des styles bien trop différents - avec Joe Dante (InnerSpace, Gremlins). Robert Zemeckis, lorsqu'il se consacre totalement à Back To The Futur, vient de terminer et de signer un succès qui - pas de coïncidence heureuse - intéresse singulièrement Spielberg : Romancing The Stone. De quatre ans le cadet de Indiana Jones And The Lost Ark, le Zemeckis, en plus du genre, partage beaucoup avec les premières aventures d'Harrison Ford et les obsessions du père de Jaws, jusqu'à une véritable inspiration houstonnienne (The African Queen, évidemment). Mais surtout, c'est 1941, l'échec cuisant de Spielberg, écrit au départ et en partie par Robert Zemeckis pour John Milius, qui va nous intéresser.

 

De ces deux exemples découlent très directement l'harmonie de cette alliance (sûrement la plus fructueuse pour le spielberg-producteur) et donc, très directement, la réussite du projet Back To The Futur. Il en ressort un goût commun, partagé et très prononcé pour la farce, le gag, la note d'humour (que perdront peu à peu les deux cinéastes au long de leurs filmographies, même si Cast Away et Minority Report, leurs dernières réalisations en date, témoignent encore véritablement de ce fait). Car d'entrée de jeu, c'est ce qui frappe le plus à la nouvelle vision de cette trilogie : du choix des acteurs jusque dans les dialogues - souvent anthologiques -, Back To The Futur apparaît très ouvertement comme un réservoir à parodies, jeux de mots et autres situations comiques formidables. De cette quasi satire alors, parce qu'il n'y finalement pas vraiment d'autres descriptif vraiment utilisable, surgit une américan-way-of-life proche de la caricature déjà dressée par nos deux cinéastes pour 1941, et qui prend ici la forme du film ''teen''. La force caustique de Spielberg et de Zemeckis trouve un parfait équilibre dans cette démarche : il est ainsi très ludique et plutôt jouissif d'observer la famille spielbergienne, représentée au grand complet, se métamorphoser aux fils des épisodes pour adopter une forme fantasmée et totalement burlesque par les méthodes bien particulières de Zemeckis.

 

Robert Zemeckis l'a démontré à maintes reprises au coeur de ses films : il travaille sur le temps, et l'interpénètre de toutes les manières possibles. Il l'étire et le fragmente (Cast Away), le banalise pour mieux en faire surgir la surprise, le brutalise (What Lies Beneath), le manipule, le déforme (Forrest Gump, Contact), et parfois l'invente (Who Framed Rober Rabbit?). Pour Back To The Futur, sa véritable première expérience temporelle, il va travailler toutes ces formes en une seule matrice, et servir au plus près les thématiques spielbegiennes qu'il adopte alors tout naturellement. A ce simple stade, on ne peut que rester ouvertement bluffé devant l'épisode II, véritable tour de magie technique et scénaristique qui accumule les prouesses et les réussites. Et qui démontre, si c'était encore nécessaire aujourd'hui, toute la maestria de Robert Zemeckis. On ne pointe pas ici tout à fait les habitudes numériques folles du cinéastes qui signeront et marqueront sa patte (ses plans fabuleux qui transpercent les matières et qui servent les enjeux narratifs du réalisateur), mais on en retrouve le concept déjà, au coeur de cette Delorean qui franchit les barrières du temps dans un cercle vicieux qui semble ne jamais finir. Et qui annonce avant l'heure sa prochaine collaboration avec Spielberg : Who Framed Roger Rabbit, qui à défaut des barrières du temps, nous fait franchir les frontières du réelles pour une rencontre au sommet avec le monde de l'animation pour une des hybridations les plus fameuse du 7e Art.

 

Ce n'est cependant qu'à la chute du dernière épisode, le moins intéressant très certainement (mais, surprise, pas le moins drôle!), dernière pirouette scénaristique qui nous ramène - dieu merci - à notre point d'origine, qu'on ne peut finalement que saluer le remarquable ouvrage réalisée ici. La saga garde en son sein une cohérence qui frise le respect aux vues des deux têtes d'affiches qui s'y sont attelées, et surtout, reste une formidable oeuvre fusionnée, fruits des idées et des thématiques qui se sont parfaitement rejointes. Elle prouve également que le film teen, aujourd'hui abysses au plus belles médiocrités cinématographiques (lorsque le genre n'est pas au main des brillants Paul Verhoeven, Brian De Palma ou astucieux Doug Liman!), peut s'avérer être un parfait catalyseur et réceptacle puisque, rendons nous compte, Back To The Futur brasse à tour de rôle de la S.F., du fantastique, du burlesque, du western, de l'aventure, et j'en passe. D'un formidable pari technique relevé de main de maître par ses faiseurs, le projet Spielberg-Zemeckis acquiert alors le statut d'objet inclassable qui, encore une fois, à travers les genres et aux travers des cinéastes eux-mêmes, joue la carte de l'interpénétration. Carte définitivement gagnante, si l'on en juge par le plaisir que l'on a, encore et toujours, à la revision de cette trilogie.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Ce qui d'entrée de jeu est à saluer ici reste l'incroyable homogénéité dont fait preuve la trilogie. L'image des trois épisodes est rigoureusement la même, malgré les écarts de dates qui éloignent le premier des deux autres opus. Ainsi, sur l'ensemble de la saga, la définition, remarquable, met en valeur la rigueur d'un piqué quasi chirurgical, qui fait ressortir un authentique grain cinéma. Les couleurs, parfaitement saturées, permettent d'apprécier un très beau travail sur les contrastes, et nous offre, par la même occasion, une magnifique palette de noires. Les masters sont splendides, et si l'on dénote toujours quelques petits soucis, ils sont dans l'ensemble irréprochables. Universal nous offre, fin du fin, une compression tout simplement parfaite (difficile, vraiment, de la mettre en défaut sur la trilogie entière et ce même lors de passages sombres ou le grain se montre plus présent qu'a son habitude) qui magnifie alors un superbe effort de remasterisation. On pourrait à la limite chipoter sur le cadrage, un pseudo panoramique 1.85:1 légèrement réduit (en 1.77:1) puisqu'il manque de l'image en haut et en bas (pour coller au plus près des cadres des moniteurs 16/9). Quoi qu'il en soit, la trilogie s'est longtemps faite attendre et Universal nous apporte une copie de quasi référence. Un travail qu'il nous faut aujourd'hui logiquement féliciter.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Français
5.1
Anglais
5.1
Universal a décidé de jouer la carte des remix! Pas de piste d'origine donc sur ces éditions. C'est toujours dommage mais les remix sont ici plutôt corrects, voire même assez bons. On est tout de suite surpris par la qualité de la spacialisation de la VO, qui gagne alors énormément en amplitude. Pour autant, la piste ne sonne jamais faux avec - comme on aurait pu le craindre - une exubérance des arrières. Au contraire, les surrounds sont présents, mais savent se faire discret comme il se doit. A titre d'exemple, on est très loin du remix de Terminator qui booste les arrières de façon bien peu naturelle. La VO de Back To The Futur est vraiment belle, semble franche, propre, cependant, notons que ce qu'elle gagne en amplitude, elle le perd en dynamique. Et oui : pas de surprise. Si la piste parvient à étaler de fort belle manière sa présence, elle chute en gamme de puissance. La VF DTS n'y changera rien, si ce n'est qu'elle est - artificiellement - mixée quelques tons plus haut. Regrettons alors bien évidemment le choix du DTS sur la VF et non sur la VO (décidemment), mais dans l'ensemble, Universal nous livre du très beau travail. C'est un vrai plaisir que de reécouter le score d'Alan Silvestri dans ces conditions...

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
230 min
Boitier
Digipack


Il nous faut nuancer maintenant pour aborder cette section supplément. Aujourd'hui, n'importe quel déchet cinématographique se voit doter de bonus très (très) conséquents, d'éditions collectors double voire triple disques, etc. C'est la réalité du marché. C'est la fin, largement consommées, des éditions spéciales pourvues d'à peine un making of de vingt minutes (le bon vieux temps des collectors Universal en somme). C'est pourquoi, à la vue de l'évènement, du phénomène Back To The Futur, on attendait une montagne de bonus, et pas du n'importe quoi : des bonus concrets, intéressants, passionnants. Au final, certes, l'éditeur nous offre un bon commentaire audio et un gros - et excellent - documentaire de 45 minutes répartis sur les trois disques. Mais à part ça? Pas grand-chose... Un classique bêtisier, des scènes coupées, etc. C'est peu, c'est trop peu, et nous pouvons le répéter : insuffisant, d'autant que la Zone 1 sera davantage ornée en suppléments (sic!). Bref, difficile d'applaudir lorsqu'en face, Paramount habille le Parrain de la plus belle des façons qui soit (3 commentaires audio, un DVD en plus consacré aux seuls suppléments) ou que Lucas rempli jusqu'à plus soif son édition de L'Attaque des Clones et de La Menace Fantôme. Alors forcément, on râle, et ce même si Universal à pondu quelque chose de plus ou moins satisfaisant. Mais l'attente justifiait l'excellence et elle n'est clairement pas atteinte....

 

Les suppléments sont intégralement sous titrés en français (mise à part la section anecdotes exclusivement en VO). Plus : Notons que l'édition Zone 2 sera plus avare en supplément que son homologue Zone 1, retardée pour l'occasion. On se demande pourquoi seuls les Etats Unis ont droit à ce traitement de faveur comme cela avait déjà été le cas avec le disque MGM de Termintator Special Edition. Il faudrait surveiller cette tendance qui n'a pas intérêt à se généraliser au détriment de la zone europe.

 

          Retour vers le Futur

 

Les Coulisses Du Tournage Back To The Futur (14'29) : C'est un documentaire réalisé à l'époque de la sortie du film. Il possède donc un côté promotionnel assez mis en avant mais reste sympathique - surtout pour le look retro des personnalités attachées aux projets (Spielberg en tête!).

 

Making Of De La Trilogie Chapitre I (15'09) : C'est la première partie d'un documentaire qu'on retrouve le long des deux autres épisodes... Et les choses sérieuses commencent. Ce reportage nous apprend des éléments déjà connu des fans (la première machine à voyager dans le temps devait être un frigo!) et nous en offre de nouveaux (le refus de plusieurs studios comme Disney pour des raisons assez scabreuses) jusqu'a nous expliciter le pourquoi-du-concept à l'époque de la sortie du film. Assez passionnant, d'autant que le document fait abondamment parler Bob Gale, Steven Spielberg, Robert Zemeckis et Michael J. Fox.

 

Le Commentaire Audio (ou comment le film a failli s'appeler L'Homme de Pluton!) : Ce commentaire est plus ou moins "spécial". Explication : le film a été visionné par un public au sein d'un amphi. Par la suite, ce même public, plus précisément des étudiants de l'Université de Californie, ont eu, par l'intermédiaire de Laurent Bouzereau, l'occasion de poser des questions à Bob Gale et Robert Zemeckis. C'est ce jeu de questions/réponses qui nous est ici présenté en commentaire audio. Ce supplément est vraiment passionnant et notons que s'il ne remplit pas l'entière durée du film, sa densité pourrait très largement faire palir des commentaires plus ordinaires. La somme de détails offertes, la pertinence des questions et surtout l'intelligence des réponses font véritablement de ce bonus un incontournable. Dommage que Steven Spielberg ne se soit pas prêté au jeu!

 

Scènes Coupées (7 séquences, Total : 8'50) :

- Pincez-moi : Marty demande à une femme de le pincer pour être bien certain qu'il ne rêve pas! Celle ci lui décoche une gifle : il est bien dans le passé!
- Effets personnels de Doc : Le Doc du passé fouille dans les affaires du Doc du futur et y découvre... De formidables ouvrages!
- Elle triche : Lauren triche à un examen et Marty en est témoin...
- Darth Vader Version Longue : Séquence plus longue qui reprend le passage déjà existant ou Marty, déguisé en martien, cherche à convaincre George d'inviter Lauren à la féerie dansante des sirènes.
- Frappe-moi George : Marty veut entrainer George à frapper pour que la scène ou il sauve Lauren de ses griffes soit "réaliste".
- Vous Avez Un Permis? : Passage allongé de la scène ou un policier demande à Doc son autorisation pour l'installation du cable sur l'hotel de ville. S'ensuit une discussion inédite avec Marty.
- La Cabine Téléphonique : George se fait coincer dans une cabine par Biff.

 

Le Bétisier (2'42) : Un classique bétisier... Plutôt drole!

 

Anecdotes : Disponibles uniquement en VO et en jaune, ils sont directement séléctionnables à partir des pistes de sous titres. Ils s'affichent parfois sous forme de dessins. Plutôt sympa, ce bonus apporte quelques explications (la plaque d'immatriculation de la DeLorean par exemple, qui m'a personnellement toujours intriguée...).

 

Essai Maquillage (2'20) : Pour les personnages de Marty, Lauren et Biff, à travers les différents âges que la trilogie est amenée à leur donner. Très impressionnant pour Biff...

 

Comparaison Film/Storyboard (2 séquences, Total : 6'42) : Lors de ces comparaisons, l'écran est divisé en deux. En haut, les storyboard, en bas, le film. Les séquences en question sont celles du skateboard (1'41) et celle de l'horloge de l'hotel de ville (5'01).

 

Notes de Production : C'est en fait une gallerie de 77 photos dont des images des coulisses du tournage, des croquis de la - fabuleuse - DeLorean et des plans du voyage temporel.

 

Film Annonce (1'18) : La classique bande annonce.

 

 

 

          Retour vers le Futur 2

Les suppléments du disque 2 suivent, à peu de choses près, le même schéma type que pour le premier épisode.

 

Les Coulisses Du Tournage Back To The Futur II (6'49) : Featurette toujours promotionnelle tournée à l'époque de la sortie de l'épisode II. Un peu redondant. Toujours amusant pour le look retro de ces personnalités, mais pas très instructif. Vite vu, vite oublié, si ce n'est quelques détails intéressants, mais qui seront repris par le gros documentaire fragmenté de Laurent Bouzereau.

 

Making Of De La Trilogie Chapitre II (15'31) : Excellent! On revient - curieusement - sur le premier épisode, et notamment sur un fait étonnant : Bob Gale nous confie que la DeLorean volante du final n'était qu'un gag visuel et n'assurait absolument pas le film d'une suite, qui ne fut prévu que bien plus tard! Le documentaire est ainsi bourré de petites anecdotes croustillantes et d'informations plus ou moins surprenantes. Comme pour le premier disque, c'est "LE" supplément de ce DVD (d'autant plus que ce deuxième épisode - et c'est dommage - ne comporte pas de commentaire audio au contraire du premier opus).

 

Scènes Coupées (4 Séquences, Total : 3'10) :

- Le Choc des générations : le Marty-père (du futur) explique à Marty Jr (le fils) comment, de son temps, il regardait la télévision...
- Petite scène ou l'on apercoit le vieux Biff, de retour de 1955 après avoir subtilisé la DeLorean, observant Doc et Marty repartir pour le 1985 modifié.
- Marty découvre le nouveau 1985.
- Marty retrouve son frère, devenu un parfait soulard, qui lui indique ou vit leur mère.

 

Le Bétisier (1'00) : Un nouveau bétisier, beaucoup plus court, mais encore une fois assez réussi!

 

Les Essais en Hoverboard (1'00) : Sympathique, sans commentaire et sans son, il montre les cascadeurs à l'oeuvre sur les skateboards du futur!

 

Comparaison Film/Storyboard (1 Séquence, Total : 2'54) : On s'attache ici à découper la scène ou Marty fait de l'Hoverboard en tentant d'échapper aux griffes de Griff et de son gang.

 

Notes de Production : Elles contiennent un album photo consacré à Marty McFly, des images des coulisses du tournage et des dessins ou croquis des différents objets ou voitures du futur.

 

Film Annonce : La Bande annonce du deuxième épisode.

 

 

 

          Retour vers le Futur 3

C'est le disque le moins rempli. Le même schéma type que pour l'épisode I et II est présent (Making Of, Scènes Coupées, Bétisiers, etc.) mais on dénote en plus de l'absence du commentaire notable sur le second opus, la non présence de la featurette d'époque et la réduction du nombre des scènes inédites.

 

Making Of De La Trilogie Chapitre III (16'18) : Dernier épisode du documentaire réalisé par Laurent Bouzereau. Vous y apprendrez que les deux films ont été tournés l'un tout juste après l'autre - voire en même temps - puisque le tournage de l'épisode III débuta juste pendant la phase finale du montage de l'épisode II (fait qu'a toujours regretté, après coup, Zemeckis, qui sera pourtant par la suite coutumier du fait : Cast Away fut tourné entre What Lies Beneath). Passionnante conclusion en tout cas à ce beau morceau de supplément.

 

La Scène Coupée (1'11) : Elle met en scène le Sherrif Strickland et son fils. Celui ci s'oppose à l'entrée dans la ville de Griff Tannen et se fait abattre dans le dos. Avant de mourir, il s'adresse une dernière fois à son fils, lui demandant de ne jamais oublier le mot "discipline". Promesse tenue si l'on en juge par le Strickland de 1985!

 

Le Bétisier (1'36) : Et un de plus! On rit toujours (il faut voir le clin d'oeil à Roger Rabbit!)...

 

Comparaison Film/Storyboard (3 Séquences, Total : 11'98) : Ce supplément fonctionne cette fois ci sur l'arrivée de Marty au Far West (passage des indiens, 2'12), enchaîne sur le duel à Hill Valey (2'46) et termine enfin par le gros morceau : le saut final dans le temps grâce à la locomotive (7'40).

 

Notes de Production : On retrouve ici l'album de photo de Marty McFly, des images des coulisses du tournage et dans la conception du film, et l'on finit par un tour des affiches de la trilogie.

 

Films Annonces : La bande annonce de Back To The Futur III est ici accompagnée de celle d'E.T. The Extra-Terrestrial.

 

Clip Muscial (1'50) : DoubleBack Vidéo de ZZ Top!
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage