Dragon Quest VII : La quête des Vestiges du jour

Genre
Pays
Japo (2016)
Date de sortie
vendredi 16 septembre 2016
Durée
600 Min
Producteurs
Artepiazza et Square Enix
Scénaristes
Divers
Compositeur
Divers
Plateforme
3DS
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Non
Non
Anglais
Oui
Non
Non
Le Jeu
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
600 min
Nb Dvd
1
Rejoignez le jeune Marin et ses amis, le prince Killyan et Maribel, alors qu'ils embarquent dans une quête pour restaurer des pays oubliés depuis longtemps. À l'aide de tablettes de pierre magiques permettant de voyager dans le temps, apportez votre aide à des habitants en difficulté, résolvez des énigmes mystérieuses et affrontez des monstres uniques dans des combats classiques au tour par tour afin de façonner le passé et le présent du monde.

Episode de la série « Dragon Quest » : « Dragon Quest VII : La quête des vestiges du jour » est aisément le plus symbolique et surtout le plus atypiques, par une succession révolutionnaire d’intrigues et de scénarios qui ouvrent le jeu à des heures de gameplay pur, moyennant parfois de mauvais choix, qui ne viennent jamais entacher la plaisir qu’il y a de plonger dans une aventure soignée et multiple pendant de nombreuses heures sans jamais avoir la sensation de tourner en rond. Du coup son arrivée sur Nintendo 3DS laisse naitre de grands espoirs de voir enfin un jeu à la hauteur de la console pour nous donner tout le loisir de parcourir une aventure dans laquelle les personnages verront naître de nouveaux mondes au fur et à mesure de l’avancée dans le jeu.

Et les premières constatations sautent aux yeux dès les premières minutes de jeu. A commencer par un environnement soigné qui n’hésite pas à mettre en avant ses qualités graphiques par une mise en scène qui ose les plans et les mouvements de caméras pour une meilleure plongée dans l’univers des héros. Puis c’est au niveau du scénario que l’on se trouve en terrain connu avec des thèmes sombres abordés avec une certaine naïveté propre aux histoires pour enfants qui donne toujours cette différence notoire avec les autres jeux du style « Zebda ». Ici, on reste dans constante double lecture qui ne laisse ainsi personne sur le carreau.

Pour ce qui est du jeu à proprement parler, on reste dans l’optique des anciennes versions avec une durée de jeu particulièrement longue, tout en s’adaptant à une époque moins enclins à la durée, en réduisant le temps d’attente pour le premier combat qui arrive au bout d’au moins une heure, une heure et demie. D’ailleurs les choix narratifs et possibilités aux joueurs de choisir les proies ou de les éviter, de se faire casser tout en ayant une possibilité de résoudre cela par un combat finalement assez rapide, donne tout de même une qualité de jeu incomparable. Toujours dans l’optique de temps, il faudra un peu de patience et pas mal de maîtrise et de combats pour évoluer dans les différentes vocations et ainsi voir naître des hybrides de différents types de personnages porteurs de pouvoirs plus importants et plus percutants pour les vocations à venir. Ainsi, pas à pas le joueur accédera à de nouvelles compétences, mais ne les gardera pas forcément durant toute la partie.

Bon parce qu’un tel jeu ne peut pas être totalement au top, il faut bien lui trouver des défauts et le plus flagrant réside dans les nombreux allers-retours qui sont à effectuer dans la progression du jeu, qui ont tendance à ralentir le rythme plus que de raison. Et pour les plus étourdies attention, le piège peut se refermer sur vous si vous omettez un indice ou ratez une issue, car vous prenez le risque de rester bloquer dans votre phase de progression.

En conclusion, « Dragon Quest VII : La quête des vestiges du jour » est certainement l’un des meilleurs jeux de cette fin d’année, qui vous fera évoluer dans un monde complexe ouvrant ainsi sur des heures de jeu d’une rare exigence. Attention toutefois à ne pas être tête en l’air, il pourrait vous en coûter de rester bloquer dans une vocation sans pouvoir progresser outre mesure.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
Sans objet
Format Cinéma
Sans objet
Une aventure en 3D magnifique qui ne peut pas laisser indifférent, tant un soin a réellement été apporté aux environnements et aux personnages. Et commençons par les graphismes autour de ces derniers justement, l’animation fait rêver tant elle utilise la fluidité des mouvements, à l’instar de personnage tels que Raph sur son Loup ou encore la fluidité dans les attaques ou dans les courses.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Côté bande son, c’est une autre affaire, alors que beaucoup vantent la qualité symphonique de la version japonaise, l’occidentale, laisse plutôt un gout amer de mal bouclée ou pas assez de moyens pour tenir la distance. Du coup, les envolées symphoniques sont assez peu renversantes et laissent un peu plus dubitatif. Pourtant il y avait de quoi aire, tant « Dragon Quest » est réputé pour sa bande son magnifique, comme le prouvait les versions sur PS2 par exemple. Alors même si, dans ce cas présent, le jeu bénéficie quand même des partitions d’origine, sa répartition laisse un peu froide

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Pas de bonus !
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
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