GTO Volume 8

Titre Original
Great Teacher Onizuka
Genre
Pays
Japon (1999)
Date de sortie
samedi 15 janvier 2005
Durée
100 Min
Réalisateur
Avec
Producteurs
Fuji Television / SME Visual Works / Studio Pierrot
Scénaristes
Tohru Fujisawa
Compositeur
Yusuke Honma, Hitorino Yoru et ak.Honma (thème d'ouverture)
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Japonais
Non
Non
Non
Allemand
Oui
Oui
Non
Français
Oui
Oui
Non
Néérlandais
Oui
Oui
Non
Polonais
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Laurent Berry
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
100 min
Nb Dvd
1


L'histoire :

Onizuka, est une racaille qui ne respecte rien ni personne. Mais il a un jours une idée en or : devenir le plus grand professeur du Japon ! Il pense ainsi vite intégrer l'éducation nationale et de fil en aiguille finir ses vieux jours aux côtés d'une lycéenne soumise de 16 ans. Malheureusement pour lui, les choses ne seront pas si faciles et il découvrira l'envers du décor. Mais ses méthodes peu orthodoxes finiront par porter leurs fruits ...

À peine ses mésaventures vis-à-vis de sa direction oubliées, Onizuka doit régler désormais de très gros problèmes d’argent à au plus vite…Entre deux, Onizuka va se frotter aux yakuzas, gagner à la loterie et déjouer une fois de plus les traquenards tordus de la plus délicieuse de ses élèves : Miyabi ! 

Série en 10 volumes
 
Vol. 7 : épisodes 32 à 35

 
# Leçon 32 :
Dans sa quête d’argent, Onizuka est aidé par Murai et les autres élèves mais, malgré tous leurs efforts, ils n’arrivent pas réunir la somme nécessaire ; En dernier recours, Onizuka décide d’aller voir un de ses anciens amis pour lui demander un peu d’argent, mais ce dernier ne lui donne qu’un ticket de tombola !

#Leçon 33 :
Aux grands maux les grands moyens : pour se venger des coups bas de Miyabi, Urumi décide de mettre hors-jeu une bonne fois pour toute cette dernière en lui tendant un piège machiavélique. Alors qu’il effectuait un de ses nombreux petits jobs pour mettre de l’argent de côté, Onizuka découvre ce qui se trame et vole au secours de Miyabi.

# Leçon 34 :
L’entreprise dans laquelle travaille Toroko est au bord de la faillite. Voulant l’aider, Onizuka se rend dans ses bureaux, mais il est pris en chasse par des Yakuzas. A contre cœur, il se décide à demander l’aide d’un ami policier, Saejima Toshiyuki, mais les manières de faire de ce dernier sont plutôt étranges…

# Leçon 35 :
La mère de Murai est une belle jeune femme qui vit seule avec son fils et qui donne l’impression d’avoir encore 20 ans. Celle-ci ne s’est jamais remariée, mais un jour, Murai apprend par hasard qu’elle s’est rendue dans une chapelle de noce avec un homme. Depuis ce jour, sa mère évite le sujet et adopte un comportement des plus bizarres.
Critique subjective

GTO est adapté de l’oeuvre du mangaka Tôru Fujisawa, né à Hokkaidoet qui a débuté en janvier 1989 avec Love you dans le magazine Magajin FRESH. De 1989 à 1990 il publie 4 volumes de Adesugata Junjô Boy dans le Shonen Magazine, puis de 1991 à 1996 31 volumes de Shonan Junaï Gumi et en 1997 le gros volume de Bad Company.
De 1997 à 2002, il publie les 25 volumes du très apprécié GTO pour lequel il reçoit en 1998 le 22ème prix Kodansha.
Cependant, en novembre 2002 dans le Young Magazine Uppers, il entame une nouvelle série Rose Hip Rose qui précède de peu la réalisation du scénario de Wild BaseBallers. Il publie ensuite les 16 premières pages du chapitre 0 de Tokkô dans le mensuel "Afternoon" et dans le "Weekly Joung JUMP" parait, Himitsu Sentai Momoider, sa 4ème série.

Le manga de Tôru Fujisawa poursuit une très belle exploitation puisqu’il a remporte un franc succès au japon à la fois sous la forme du magna, d’un drama qui l’équivalent de notre feuilleton (il ne s'agit pas d'une série, puisque le nombre d'épisodes est limité entre une dizaine et une vingtaine en général) et de l’animé.

Le succès de cet animé vient probablement du mélange assez détonant entre différents types de manga.
Le héro de GTO s’appelle Ekichi Onizuka (oni veut dire le diable en japonais et sont représentés par exemple sans Inuyasha), a 22 ans et est toujours puceau. Mais sa caractéristique principale est d’être un ancien zoku c’est-à-dire un de ces voyous à moto qui percent leurs pots d’échappement pour faire plus de bruit, agressant parfois les automobilistes et passant au ralenti en pétaradant devant les postes de police.
Afin de changer de statut social et de ne plus être célibataire il décide de devenir professeur et obtient un poste dans un lycée alors qu’il n’est diplômé que d’une petite université japonaise peu cotée.

Ce qui crée un décalage intéressant dans GTO c’est qu’Onizuka conserve ses manières de Zoku qu’il adapté à son nouveau rôle de professeur. L’affaire se corse quand Onizuka décide de devenir le Great Teacher Onizuka c’est-à-dire un grand professeur ce qui le conduit à se démener pour aider ses étudiants.

Dans cette logique et les leçons de ce DVD, Onizuka doit trouver l’argent nécessaire pour financer le voyage des élèves à Okinawa, une île paradisiaque au Sud du Japon. Comme souvent il doit faire face à la fois à des situations assez dingues et en plus aux attaques menées par certains de ses élèves comme c’est le cas ici. En effet, Miyabi veut lui faire perdre le gain d’une tombola permet de couvrir l’intégralité des frais du voyage et pour cela pousse le bouchon très loin.

On alterne ainsi dans cette série, gags comiques, intrigues entre profs, élèves, yakusa mais toujours avec le redresseur de situation et parfois aussi de tord, Onizuka. L’animé se permet de nombreuses fantaisie qui consistent à intégrer des emprunts à d’autres films d’animations comme des cartoons américains. On trouve aussi d’étranges transformations physique d’Onizuka toujours en référence à d’autres personnages de manga et certains personnages comme dans la leçon 35 présentent des caractéristiques physiques (dentitions de monstres) qui laissent penser qu’il s’agit d’extra-terrestre ou de démons.

Comme l’animation est très dynamique et plutôt bien rythmé et sentie on se délecte de cette OAV.

Verdict :

La série est un must du moment et les bonus nous gratifie enfin d’un document sur la réalisation de l’animé. On peut avoir le témoignage du réalisateur de l’animé, Abe Noriyuki qui explique le processus d’adaptation d’un manga comme GTO. L’interview en deux parties, continu sur le DVD volume 9.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
4/3 couleur
Format Cinéma
1.33:1



On a une bonne qualité d'image
et on constate principalement des effets de contour sur les personnages. Sinon les couleurs sont impeccables, le contraste parfait. Les scintillements sont très discrets. La qualité de l’image s’est beaucoup améliorée avec les volumes.
L'image du document dans les bonus est très correcte.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Japonais
2.0

La piste son Dolby Digital en Japonais Stéréo suffit à cet anime qui bénéfice d'une animation très expressive. La piste audio est très pêchue et passe très bien autant en mode stéréo que dans le cas où l’on passe le DVD en répartissant el son sur les enceintes arrières aussi. On a une exploitation des surround qui se manifestent par moment et s’entend nettement sur les enceintes surround. Une bonne petite piste audio 2.0 surround qui remplie son office.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
20 min
Boitier
Amaray


Enfin Kaze nous propose un bonus pour cette édition simple de la série GTO et bien que l’on aurait aimé en voir plus sur la partie production du graphisme, on apprécie les explications données par Abe Noriyuki.

Bonus
La naissance d’un projet : GTO, interview du réalisateur Mr Abe sur l’élaboration du projet (partie I) (20mn 39)

Détail 6 des bandes-annonces
> Submarine Super 99
> Nadia et le secret de l’eau bleue
> Les douzes Royaumes
> Get Backers
> Gate Keepers
> GunslingerGirl

Menus
Les menus ne sont franchement pas beaux en général sur cette série, surtout pour la partie introductive ou l'on choisit la langue. En premier lieu vous trouvez un menu de choix de langue à dominante gris, graphisme effet métal, pas terrible.
L'interface du dvd est propre et d'un goût un peu meilleur ; on reste dans une esthétique de motard cool et nonchalante caractéristique de Onizuka.
 
Packaging
Pas grand chose à dire, boîtier simple et couverture avec une impression réussie et de belles couleurs.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage