Le Film
    Critique de Laurent  Berry
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                100 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	
L'histoire :
Onizuka, est une racaille qui ne respecte rien ni personne. Mais il a un jours une idée en or : devenir le plus grand professeur du Japon ! Il pense ainsi vite intégrer l'éducation nationale et de fil en aiguille finir ses vieux jours aux côtés d'une lycéenne soumise de 16 ans. Malheureusement pour lui, les choses ne seront pas si faciles et il découvrira l'envers du décor. Mais ses méthodes peu orthodoxes finiront par porter leurs fruits ... 
Tous les élèves de la 3-4 partent en voyage scolaire, la destination n’est autre qu'Okinawa, une île paradisiaque au Sud du Japon ! mais Onizuka va avoir bien du mal à tenir tout ce petit monde au calme : accident, amourette et disparition, le Great Teacher pourra-t-il assumer le rôle du gentil animateur ? 
 
Série en 10 volumes
 
Vol. 9 : épisodes 36 à 39 
 
# Leçon 36 :
Tous les élèves de la 3-4 partent en voyage scolaire, la destination n’est autre que Okinawa, une île paradisiaque au Sud du Japon ! Pour le plus grand malheur de Fuyutsuki qui redoute les remarques déplacées sur sa poitrine qu’elle trouve bien trop petite… C’est alors qu’apparaît Nao, jeune fille qui décide de tout faire pour la métamorphoser. 
#Leçon 37 :
Tous les élèves savourent pleinement le premier jour à Okinawa, sauf Yoshikawa qui est toujours persécuté par certaines de ses camarades. Le soir même, Onizuka décide de réorganiser la disposition des élèves dans les chambres : Yoshikawa se retrouve malgré lui avec ses “bourreaux”, et celles-ci n’attendent pas longtemps pour se mettre à l’œuvre… 
# Leçon 38 :
Kikuchi apprend à Onizuka qu’un trésor d’une valeur de 2 milliards de yens se trouverait dans les environs d’Ishigakishima. Poussé par l’avidité, Onizuka décide de partir à la chasse au trésor et emmène avec lui les élèves de la 3-4 sans leur révéler son vrai but. Mais en cours de route, le groupe de Yoshikawa est porté disparu… 
# Leçon 39 : 
Yoshikawa tente de sauver Uehara de la noyade, mais ils sont tout deux emportés par le courant. Trouvant refuge dans une grotte, il essaie de rassurer sa camarade, morte d’inquiétude. Pendant ce temps, Onizuka décide de partir à leur recherche en compagnie de Reimi, pensant que ces deux-là avaient trouvé le trésor.
Critique subjective
GTO est adapté de l’oeuvre du mangaka Tôru Fujisawa, né à Hokkaidoet qui a débuté en janvier 1989 avec Love you dans le magazine Magajin FRESH. De 1989 à 1990 il publie 4 volumes de Adesugata Junjô Boy dans le Shonen Magazine, puis de 1991 à 1996 31 volumes de Shonan Junaï Gumi et en 1997 le gros volume de Bad Company. 
De 1997 à 2002, il publie les 25 volumes du très apprécié GTO pour lequel il reçoit en 1998 le 22ème prix Kodansha. 
Cependant, en novembre 2002 dans le Young Magazine Uppers, il entame une nouvelle série Rose Hip Rose qui précède de peu la réalisation du scénario de Wild BaseBallers. Il publie ensuite les 16 premières pages du chapitre 0 de Tokkô dans le mensuel "Afternoon" et dans le "Weekly Joung JUMP" parait, Himitsu Sentai Momoider, sa 4ème série.
Le manga de Tôru Fujisawa poursuit une très belle exploitation puisqu’il a remporte un franc succès au japon à la fois sous la forme du magna, d’un drama qui l’équivalent de notre feuilleton (il ne s'agit pas d'une série, puisque le nombre d'épisodes est limité entre une dizaine et une vingtaine en général) et de l’animé.
Le succès de cet animé vient probablement du mélange assez détonant entre différents types de manga. 
Le héro de GTO s’appelle Ekichi Onizuka (oni veut dire le diable en japonais et sont représentés par exemple sans Inuyasha), a 22 ans et est toujours puceau. Mais sa caractéristique principale est d’être un ancien zoku c’est-à-dire un de ces voyous à moto qui percent leurs pots d’échappement pour faire plus de bruit, agressant parfois les automobilistes et passant au ralenti en pétaradant devant les postes de police.
Afin de changer de statut social et de ne plus être célibataire il décide de devenir professeur et obtient un poste dans un lycée alors qu’il n’est diplômé que d’une petite université japonaise peu cotée.
Dans le volume précédant, Onizuka devait trouver l’argent pour payer le voyage des élèves sur l’île d’Okinawa, ce qu’il a réussit après avoir esquiver les nombreux pièges auxquels il a été confronté.
Dans ce volume la série change un peu de ton mais n’en est que plus intéressante. En effet, on découvre Fuyutsuki, la jeune collègue d’Onizuka aux prises avec ses complexes physiques, en particulier ceux concernant sa petite poitrine. La leçon 32 où on assiste à ses essais de métamorphose est tout simplement désopilant. Fuyutsuki finit par ressembler à une sorte de caricature  de Sharon Stone et son arrivé au lycée le jour du départ enfonce le clou.
Lors du séjour à Okinawa on découvre un peu plus la folie d’Onizuka et ses étonnantes caractéristiques physiques qui lui permettent de supporter des épreuves surhumaines. Onizuka est un peu comme un Toons ce qui n’est pas forcément évident si on considère que l’OAV se veut tout de même un peu réaliste puisque de nombreux décors et personnages apparaissant dans l’animé sont directement inspirés de ce que la production des studios Pierrot voyaient dans l’environnement proche de la ville Japonaise.
Verdict :
GTO fait sans aucun doute parti de ces mangas qu'il faut posséder. On bénéficie sur ce neuvième volume de la deuxième partie de l’interview du réalisateur de l’animé, Abe Noriyuki qui donne quelques clefs sur le personnage et les emprunts à la fiction et à la réalité dans cette adaptation. 
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                4/3 couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.33:1
						
            
         
     
    
 
                            
	
On a une très belle image aussi sur ce volume mais on remarque toujours des effets de contour. Cela n’est pas gênant d’autant que la compression s’est vraiment améliorée et que l’on ne note pratiquement plus aucun artefact de compression. Les couleurs et le contraste restent très bons. Les scintillements que l’on retrouvait parfois que les premiers volumes sont rares.
L’image de l’interview du réalisateur est aussi très correcte. 
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Japonais                      
2.0
 
                            
	
La piste son Dolby Digital en Japonais 2.0 se comporte très bien et est assez pêchue. Les surround sont exploités également sur ce volume comme sur les précédents ce qui permet d’étoffer cette piste audio. On a une piste plutôt équilibrée et qui met bien en valeur à la fois les voix et les ambiances musicales. La spatialisation est moyenne mais on ne ressent pas de manque à ce niveau probablement par ce que l’animation et le caractère des personnages compensent bien ce genre d’effets. La musique aussi contribue largement à créer des ambiances parfois très étonnantes mais toujours appropriées comme lors des premiers essayages de maillot de bain de Fuyutsuki. 
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                18 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	
Les bonus de ce volume 9 nous proposent une suite à l’interview du réalisateur Abe Noriyuki. On en apprend plus sur le personnage d’Onizuka et sur les inspirations de la production pour l’adaptation de GTO.
Bonus 
Fiction et réalité : Le personnage de GTO, interview du réalisateur Mr Abe (partie II) au Studio Pierrot. (17 mn 59)
Détail des 6 bandes-annonces
> Submarine Super 99
> Nadia et le secret de l’eau bleue
> Les douzes Royaumes
> Get Backers
> Gate Keepers
> GunslingerGirl
Menus
Les menus ne sont franchement pas beaux en général sur cette série, surtout pour la partie introductive ou l'on choisit la langue. En premier lieu vous trouvez un menu de choix de langue à dominante gris, graphisme effet métal, pas terrible.
L'interface du dvd est propre et d'un goût un peu meilleur ; on reste dans une esthétique de motard cool et nonchalante caractéristique de Onizuka.
On finit par s'habiuter à ce design graphique un peu spécial.
  
Packaging 
Pas grand chose à dire, boîtier simple et couverture avec une impression réussie et de belles couleurs.
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
            Fin alternative
 
     
    
        
            
            Galerie de photos
 
        
            
            Story board
 
        
            
            Multi-angle
 
     
    
        
            
            Liens internet
 
        
            
            Interface Rom
 
        
            
            Jeux intéractifs
 
     
    
        
            
            Filmographies
 
        
            
            Clips vidéo
 
        
            
            Bêtisier
 
     
    
        
            
            Bonus Cachés
 
        
            
            Court Metrage