GTO Volume 7

L'histoire

Onizuka, est une racaille qui ne respecte rien ni personne. Mais il a un jours une idée en or : devenir le plus grand professeur du Japon ! Il pense ainnsi vite intégrer l'éducation nationale et de fil en aiguille finir ses vieux jours aux côtés d'une lycéenne soumise de 16 ans. Malheureusement pour lui, les choses ne seront pas si faciles et il découvrira l'envers du décor. Mais ses méthodes peu orthodoxes finiront par porter leurs fruits ...

Critique subjective :

Série en 10 volumes
 
Vol. 7 : épisodes 28 à 31
 
# Leçon 28 :
Participant à un concours, Toroko ignore à quel point ses rivales sont redoutables, et malgré tous les efforts d'Onizuka, il semble que le comptage des bulletins de votes soit truqué. De plus, son adresse est publiée dans un magazine dédié aux fans, et son maillot de bain pour la séance de photos a disparu. Les ennuis s’enchaînent et ne font que commencer.

#Leçon 29 :
Un jour, le professeur Sakurada demande à Fujiyoshi Koji d’être le responsable de la collecte d’argent du lycée. Ayant réuni la somme de 1 120 000 yens, celui-ci à l’intention d’utiliser une partie de l’argent pour s’acheter une montre, mais malheureusement, il perd la somme… Pendant ce temps, Onizuka trouve dans sa veste 1 120 000 yens !

# Leçon 30 :
Il semblerait qu’Onizuka ait dépensé tout l’argent de la collecte en diverses choses futiles. Désespéré, Fushiyoshi ne retrouve pas l’argent et se met à dos toute la classe. Fushiyoshi décide alors de travailler en cachette pour récupérer la somme perdue.

# Leçon 31 :
La preuve est faite qu’il s’agit de Miyabi, aidée de Kikuchi et Urumi, qui a manigancé tous ces incidents. Furieux, Onizuka lance le défi d’emmener avec lui tous les élèves de 3ème année à Okinawa dès qu’il aura récupéré tout l’argent qui n’était pas le sien et qu’il a gaspillé inutilement.

Critique subjective

Ce volume raconte des histoires un peu moins drôles et plus sérieuses.
Onizuka doit aider Tomoko à gagner un concours pour servir sa carrière mais comme toujours il arrive toujours à obtenir le meilleur des situations même lorsqu’elles semblent très compliquées. Le vote est truqué et bien qu’à cela en tienne, Tomoko conquérra son public par l’émotion.

Il se retrouve coincer dans une invraisemblable histoire d’argent qu’il aurait dépenser avec de charmantes jeunes filles alors qu’il s’agit de l’argent versé par les élèves pour un voyage d’étude. Accusé de vol et menacé de renvoi il retourne la situation à son avantage en promettant d’emmener tous les élèves de 3ème année à Okinawa, se mettant ainsi dans une situation rocambolesque.

Plus que jamais Onizuka montre son grand coeur et sa folie aussi. Il désarme les pires rebelles à son programme secret en déployant des efforts surhumains pour parvenir à ses fins. Après tout , Onizuka est le Great Teacher Onizuka et il se doit de parvenir à être le plus grand professeur du Japon !

Verdict :

Comme dans les volumes précédents Onizuka vient en aide à ses élèves en aidant Tomoko a gagné un concours pour lancer sa carrière ou en récupérant l’argent perdue d’une bourse de voyage. Onizuka continue d’appliquer ses méthodes peu orthodoxes et séduit même la directrice du lycée qui semble impatiente de voir comment il peut se tirer de ses propres embrouilles.

L'image qui globalement passe bien ne présente différents défauts dont un effet de contour principalement visible sur les contours des personnages en particulier (sûrement causé par l'application d'un filtre correctif pour accentuer les détails de l'image).
Les couleurs sont plutôt bonnes en général. La définition est un peu moins bonne que sur le volume 4  par exemple. On note des artefacts de compression (pointillisme) dans les fonds de couleurs unis et des scintillements peuvent apparaître sur certaines lignes du dessin comme lors de la scène dans le train à la 20ème minute de l’épisode 28.
On constate qu’il y a quelques taches sur le master surtout dans l’épisode 28.

La piste son Dolby Digital en Japonais Stéréo suffit à cet anime qui bénéfice d'une animation très expressive. La stéréo est suffisamment pêchue pour créer une ambiance captivante. La spatialisation n’est pas très sollicitée mais parfois elle se manifeste par exemple lors de la 12ème minute de l’épisode 31 avec le bruit de la porte qui s’ouvre.  Le surround est moyen mais présent.
L'ensemble est bien perçu et on ne se sent pas léser d'autant que la dynamique sait se réveiller quand il le faut.

Bonus

Les bonus sont un peu mieux que sur les volumes mais ne sont pas pour autant extraordinaires. A vrai dire un karaoke et un clip ça casse pas des briques  Nous espérons sincèrement que cette édition proposera à un moment des bonus plus intéressants qu’une galerie d'image banale ou un clip qui n'est jamais qu'une reprise du générique des épisodes.
 
On trouve donc :

> Un karaoke en deux parties :
- Opening , "Hitoi no Yoru"  de Porno Graffiti
- Ending, "Shizuku " d’Okuda Miwako

> Un clip de GTO dans le goût de celui du volume 4.
> 6 bandes annonces de Kaze

Détail des bandes-annonces

> Submarine Super 99
> Nadia et le secret de l’eau bleue
> Les douzes Royaumes
> Get Backers
> Gate Keepers
> GunslingerGirl

Menus
Les menus ne sont franchement pas beaux en général sur cette série, surtout pour la partie introductive ou l'on choisit la langue. En premier lieu vous trouvez un menu de choix de langue à dominante gris, graphisme effet métal, pas terrible.
L'interface du dvd est propre et d'un goût un peu meilleur ; on reste dans une esthétique de motard cool et nonchalante caractéristique de Onizuka.
On peut dire que globalement la qualité de l'image s'améliore avec les volumes même si dans ce volume la qualité semble un peu reculer.
 
Packaging
Pas grand chose à dire, boîtier simple et couverture avec une impression réussie et de belles couleurs.