Le Film
    Critique de Laurent  Berry
    
    
    
        
            Editeur
            
            Edition
            
                Standard
            
            Label
            
                
            
            Zone
            
                2
            
            Durée Film
            
                125 min
            
            Nb Dvd
            
                1
            
         
     
    
 
                            
	
L’histoire
Onizuka, un ancien loubard, se met en tête de devenir un grand professeur avec sa vision très personnel de l'éducation...C'est aussi pour lui un moyen de profiter de toutes ces étudiantes et, qui sait, de finir ses vieux jours auprès d'un lycéenne soumise de 16 ans !!
Résumé des épisodes
Série en 10 volumes
Vol.2: épisodes 5 à 9
# Leçon 5 :
Pour s’être montré beaucoup trop amical envers Onizuka alors que bon nombre d’élèves ont l’intention de le renvoyer, Yoshikawa se fait brutaliser par Anko et ses amies. Excédé par les exactions auxquelles se livrent ces dernières, Yoshikawa décide de mettre fin à ses jours en se jetant du toit de l’établissement, mais il est sauvé in extremis par Onizuka...
# Leçon 6 :
Après avoir compromis Anko, la fille de la présidente du PTA, Onizuka est convoqué à une réunion de parents d’élèves en vue de fournir des explications pour justifier ses actes. Anko voit là une parfaite occasion pour renvoyer ce professeur en influençant sa mère. Mais Yoshikawa a bien l’intention d’aider Onizuka jusqu’au bout et demande assistance auprès de Kikuchi.
# Leçon 7 :
Murai est très ennuyé car c’est la période où les professeurs visitent les parents à leur domicile. Or sa mère est encore dans sa pleine jeunesse et il craint qu’Onizuka ne profite de cette visite pour la séduire... Il incite alors ses camarades par la force à refuser la visite. Mais manque de chance, Onizuka et sa mère parviennent tout de même à se rencontrer malgré sa vigilance...
# Leçon 8 :
Onizuka devient de plus en plus populaire auprès des 3-4 et de plus en plus d’élèves se rallient à sa cause, ce qui a pour effet d’agacer au plus haut point ceux et celles qui sont encore contre lui. Une fois la classe terminée, Murai surprend sa mère et Onizuka, qui avaient prévu un rendez-vous au bowling. Mais en pleine partie, la mère de Murai doit repartir, laissant ce dernier et ses amis seuls avec le professeur avec qui le courant ne passe pas vraiment...
# Leçon 9 :
Victime d’un des projectiles d’Onizuka, le professeur d’éducation physique Fukuroda lui lance un défi de natation. Si Onizuka perd, il ne doit plus jamais sortir du rôle de simple professeur durant ses heures d’enseignement. Après la confrontation, Miyabi élabore un nouveau plan pour faire renvoyer de manière certaine Onizuka en lui faisant endosser le vol de sous-vêtements féminin. Pour ce faire, elle demande à Tomoko Nomura d’introduire les sous-vêtements dans le casier d’Onizuka.
Critique subjective
Décidément Onizuka est un drôle de bonhomme. Quand il ne sauve pas un de ses élèves d’un suicide et l’encourage à affronter ses problèmes il se transforme en Kenshiro (Référence à Ken le survivant dont l’histoire n’a pas à voir grand chose avec GTO sinon que les deux personnages viennent en aide aux plus faibles).
Le personnage confirme son emprunt comique et drageur à Nicky Larson mais en lui donnant une touche plus teenager et rebelle. On se rend compte d’ailleurs avec certaines scènes où il prend la défense d’un étudiant mal traité par un groupe de filles qu’il suit des règles précises, presqu’une philosophie.
Autre emprunt, la proximité avec une jeune femme peut provoquer des saignements au nez à Onizuka à l’instar de tortue géniale de Dragon Ball.
L’animation est un peu saccadée et est très expressive ce qui fonctionne plutôt bien avec la brièveté des épisodes et le côté comédie un peu dingue parfois comme le collège fou fou fou. Onizuka peut passer d’une expression de visage au style graphique très sérieux et brusquement basculé dans un style graphique grossier et caricatural.
Verdict
Un personnage qui finit par être très intéressant à suivre et qui rappelle beaucoup d’autres manga. Onizuka serait ainsi une sorte de Nicky Larson qui à une science du combat de Kenshiro mais saigne du nez comme tortue géniale au contact d’une personne du sexe féminin.
Tout un programme, et ça donne envie d'en avoir un à la maison, n’est-ce pas !!
                            
    
        L'image
    
    
    
    
        
            Couleurs
            
            Définition
            
            Compression
            
            Format Vidéo
            
                4/3 couleur
            
            Format Cinéma
            
                1.33:1
						
            
         
     
    
 
                            
	
L’image qui globalement passe bien présente quelques défauts. La compression sur les arrières plans, les décors a tendance à être limite, on peut apercevoir du bruit qui peut être causé par une compression un peu trop forte. 
Les couleurs sont plutôt bonnes en général et surtout sur les personnages où elles sont parfaites. La définition est correcte.On constate par ailleurs des petites taches par ci par là mais sans que cela ne focalise l’attention et ne gène le visionnage. 
                            
                            
    Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Japonais                      
2.0
 
                            
	La piste son Dolby Digital en Japonais Stéréo suffit à cet anime qui bénéfice d’une animation très expressive. Les personnages ont tendances à être très expressifs et la stéréo est suffisamment pêchue pour créer une ambiance captivante.
                            
                            
    
        Les Bonus
    
    
    
        
            Supléments
            
            Menus
            
                
            
            Sérigraphie
            
            Packaging
            
            Durée
            
                2 min
            
            Boitier
            
                Amaray
            
         
     
    
 
                            
	
Bonus 
Les bonus ne sont pas terribles non plus sur ce deuxième volume. Heureusement que Onizuka est autant déjanté. Ca console !!
On trouve donc :
> une galerie qui reprend des images de l’anime mais n’apportent pas grand chose. On aimerait que les bonus soient de vrais bonus ; mettez-nous des planches graphiques de la production ou des interviews des créateurs des personnages.
> Un clip de GTO qui est pas excitant (1mn 40).
> 8 bandes annonces de Kaze
Détail des bandes-annonces
> Armitage III
> Armitage Dual Matrix
> Ah ! My goddess le film
> Ghenma Wars, à l’aube de la légende
> Gate Keepers
> Babel II
> Alexander
> Angel Sanctuary
Menus
Les menus sont franchement pas beaux. En premier lieu vous trouvez un menu de choix de langue à dominante gris, graphisme effet métal, pas terrible et le reste de l’interface ne reflète pas du tout le contenu du dvd. Heureusement !
De plus, la séquence d’introduction avant le deuxième menu qui nous intéresse présente une compression très grossière.
Packaging
Pas grand chose à dire, boîtier simple et couverture avec une impression réussie et de belles couleurs.
                            
Bonus
    
        
            
            Livret
 
        
            
            Bande annonce
 
        
            
            Biographies
 
     
    
        
            
            Making of
 
        
            
            Documentaire
 
        
            
            Interviews
 
     
    
        
            
            Com. audio
        
            
            Scènes sup
 
        
            
            Fin alternative
 
     
    
        
            
            Galerie de photos
 
        
            
            Story board
 
        
            
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            Filmographies
 
        
            
            Clips vidéo
 
        
            
            Bêtisier
 
     
    
        
            
            Bonus Cachés
 
        
            
            Court Metrage