Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
270 min
Nb Dvd
1
Synopsis
La première saison comprend 5 épisodes :
1 La Fille de Barnes, Ercit par David Jacobs, Réalisation : Robert Day
2 L'école buissonière, Ecrit par Virginia Aldridge, Réalisation Irving J. Moore
3 Un espion dans la maison, Ecrit par Arthur Bernard Lewis, Réalisation Robert Day
4 Un vent de vengeance, Ecrit par Camille Marchetta, Réalisation Irving J. Moore
5 La fête, Ecrit par David Jacobs, Réalisation : Robert Day
Critique Subjective
20 ans après
Première déception, nous n’avons pas le générique français qui est resté dans toute les mémoires. En même temps, ça permet de le réutiliser dans la critique, Dallas est un donc un univers impitoyable et qui glorifie la loi du plus fort patrie du dollar, du pétrole, Dallas ne connais pas la pitié
le revolver est ton idole, tu te raccroches à ton passé. Vous avez au moins la trame de la chanson adapté à la critique mais vous voyez c’est du costaud, du léché, recherché avec beaucoup de profondeur. Finalement, ils ont bien fait de virer le générique français
Sulfureux
En 1978, CBS propose une nouvelle série basée sur une famille de magnats du pétrole sans scrupule. Violence, sexe, argent, meurtre, scandale, famille, qui se déchire, tous les ingrédients sont réunis pour mettre le feu à la télévision et ça fonctionne. A son arrivée en France, la série fait scandale car elle traverse l’atlantique avec une réputation à faire frémir et sa diffusion fait débat même à l’assemblée.
Et donc
Quelles sont les composantes de Dallas ? D’abord on reconnaît une bonne série lorsque le méchant est réussi, et là J.R. Ewing est un salaud très réussi, impitoyable, libidineux et prêt à écraser même sa propre famille. Ensuite, la galaxie de personnage autour est elle aussi très réussi, Bobby est un gentil marié par amour à la fille du pire ennemi de la famille et Victoria Principal (ex mme Presley) a des charmes qui en ont fait craquer plus d’un. La petite Lucy est une s…… patenté et son seul désir est de casser l’ambiance et le mariage de Bobby. Le père Ewing est un patriarche lui aussi impitoyable. La famille Ewing est donc un condensé de l’avidité humaine et de la cupidité texane et du monde du pétrole en lutte contre l’écologie. Hélas, la série a bien vieilli et est fortement ancré dans les années 80, les années Reagan, les années Fric et de politique libérale absolue. Dallas est donc le symbole d’une Amérique qui essaie d’oublier ce passage peu glorieux de son existence et qu’elle paye cher encore socialement de nos jours
Un dernier mot
A découvrir pour les nouvelles générations, ceux qui l’ont vu à la télé feront peut-être jouer la nostalgie. La série a vieilli …tout comme les spectateurs de l’époque.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Le générique est une véritable catastrophe, bouillie de pixels, rayure et taches à gogo. Puis cela s’améliore un peu, mais le master a bien souffert. L’image est un peu terne et floue. Mais le peu d’épisode par DVD permet une compression à peu près correcte
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
1.0
Anglais
1.0
Il est étrange de suivre une série que l’on connaît bien en Vf et de l'écouter enfin en Vo. Finalement la Vf colle bien aux personnages. Le mono est correct, ne siffle pas trop mais il faudra monter un peu le volume pour l’écouter.
Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
0 min
Boitier
Amaray
Commentaire audio de Larry Hagman, David Jacobs et Charlene Tilton ; assez décousu, ce commentaire n’est pas sous-titré.
Bonus

Livret

Bande annonce

Biographies

Making of

Documentaire

Interviews
Com. audio

Scènes sup

Fin alternative

Galerie de photos

Story board

Multi-angle

Liens internet

Interface Rom

Jeux intéractifs

Filmographies

Clips vidéo

Bêtisier

Bonus Cachés

Court Metrage