Basic

Titre Original
Basic
Genre
Pays
Usa (2002)
Date de sortie
mercredi 7 janvier 2004
Durée
100 Min
Réalisateur
Producteurs
Mike Medavoy,
Scénaristes
James Vanderbilt
Compositeur
Klaus Badelt
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Français
Oui
Oui
Oui
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
100 min
Nb Dvd
1


Synopsis

Une nuit, lors d'un exercice d'entraînement, un ouragan frappe Panama et cinq militaires, dont l'autoritaire et cruel sergent West (Samuel L. Jackson), disparaissent...L'équipe de sauvetage ne récupère que deux survivants, l'un est en situation critique à l'hôpital, l'autre refuse obstinément de parler. L'agent Tom Hardy (John Travolta), agent de la DEA au passé trouble, est rapidement appelé sur les lieux pour mener l'enquête aux côtés du capitaine Julia Osborne (Convie Nielsen).Toute l'affaire semble tourner autour d'une vengeance contre le sergent West, mais entre trahisons et mensonges, les apparences sont parfois trompeuses...


Critique subjective

Le scénario

Le scénario de BASIC, truffé de coups de théâtre à la Hitchcock, est captivant. L'histoire est relatée par plusieurs personnages dont les versions se contredisent, de telle sorte due le spectateur se demande jusqu'au bout ce qu'il s'est réellement passé ce jour-là et pourquoi. Le tout débouche sur un dénouement surprise qu'il est impossible d'anticiper.Pour John McTieman, BASIC possède tous les critères d'un bon thriller : « Un groupe d hommes disparaît à la suite d'un événement horrible et deux personnages essaient de résoudre ce mystère, à leurs risques et périls, et la tension monte de scène en scène... ».




Entrainenment spécifique

Tous les comédiens de BASIC ont dû subir une formation de rigueur avant le début du tournage.John Travolta, pour sa part, a suivi un entraînement six jours sur sept pendant les trois mois précédant le tournage, accompagné d'un régime alimentaire spécifique, ce afin de perdre une douzaine de kilos. Parallèlement à cette remise en forme, il a également participé à un stage intensif au Premier Bataillon du 75ème Rangers.


Tournage entre Panama et la Floride

Le tournage de BASIC s'est principalement déroulé sur les lieux mêmes de l'action du film, à Panama. Les scènes cruciales de l'exercice en forêt ont, elles, été tournées sur un ancien terrain d'aviation de Jacksonville, en Floride, transformé pour l'occasion en jungle tropicale grâce à l'ajout d'une centaine de palmiers et d'environ 500 autres plantes. Le terrain fut remodelé pour paraître plus accidenté. L'équipe construisit ensuite un bunker, ainsi que deux miradors équipés de puissants projecteurs pour parfaire ce décor.Pour reconstituer la tempête censée frapper la jungle pendant l'exercice militaire, l'équipe des effets spéciaux de BASIC a eu recours à six ventilateurs géants dispersés sur le plateau. La pluie torrentielle était, elle, actionnée par neuf réservoirs fixés aux arbres et connectés à une citerne pouvant fournir jusqu'à 2800 litres d'eau par minute.


Un conseiller aguerri

Afin de garantir l'authenticité de son intrigue, John McTiernan a fait appel au sergent-chef Charles Fails, engagé comme conseiller technique. Celui-ci avait déjà travaillé sur d'autres productions militaires comme TIGERLAND et A ARMES EGALES.Fails se vit confier sur BASIC un certain nombre de tâches : « J'ai donné des conseils relatifs à la décoration des bureaux, aux armes, aux uniformes (grades, décorations, écussons...) et même aux immatriculations et lettrages des véhicules. J'ai également inculqué aux comédiens une gestuelle conforme aux traditions militaires... ».




Et un film brillant, un ?

Le scénario est à tiroir comme on peut s’en douter et le but ici n’est pas seulement de découvrir le coupable mais le cheminement pour y parvenir. Travolta en fait un peu trop et n’apparaît pas immédiatement comme un interrogateur brillant et crédible.Connie Nielsene st parfaite en Prévot opiniatre et tétu et que dire de Samuel Jackson délicieux en sergent instructeur pervers. Le scénario souffle de quelques invraisemblances assez grosses, mais l’ensemble se laisse finalement regarder sans déplaisir et on est comme happé par le film , le sens de la réalisation, l’implication du spectateur dans la déferlante home-cinéma qui permet de mieux comprendre la pression subit par les soldats durant l’orage.


Un dernier mot

Un film pas aussi intelligent que le voudrait le réalisateur et el scénariste mais un très bon film quand même. A voir pour el fond et la forme (voir la critique son ci-dessous)
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1
Le challenge était difficile : dans ce film la pluie ne s’arrête jamais, et il n’y rien de pire pour une compression réussie que la pluie. Le challenge était presque réussi à part deux ou trois scènes fraîchement raté, surtout celle en contre plongé. Sinon pour le reste la définition est lumineuse et les contrastes sont parfaitement gérés vu l’ambiance nocturne et « jungle » de ce film.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Anglais
5.1
Alors là, du grand art. Cela faisait un bout de temps que nous n’avions pas ressenti aussi fort une expérience d’immersion du spectateur dans l’ambiance multi canal. En effet, al bande son nous place souvent au cœur de l’action , de la tempête qui est retranscrite ici avec une rare violence. Tous les canaux sont parfaitement exploités, et la bande son sait alterner intimité et clarté des voix lors des interrogatoires et violence de la pluie, des éclairs et des coups de feu. Waowwwwwwww. Une nouvelle démo.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
50 min
Boitier
Amaray


Menu et interactivité

Les menus nous mettent directement dans l’ambiance du film, tempête, cabanon et musique martialement stressante.


Bonus

Commentaire audio de John Mc Tiernan: Même si ce que dit le réalisateur est toujours passionnant , il le dit d’un ton assez monocorde et lénifiant qui finit par endormir à la fin , le tout parcouru de gros blanc. Les propos de Mc Tiernan sont souvent parcourus de remarques fort pertinentes sur l’évolution du métier et des dangers d’être anti-conformiste.


Interview de John Mc Tiernan (21’35) : Une interview très simple où le réalisateur nous parle du film, de son tournage et de la relation établie avec et entre les acteurs. Le film n’étant fait que pour n’être vu qu’une fois d’après lui.


Making of (14’31) : On n’est pas vraiment dans le making of mais plutôt dans des interviews des trios principaux acteurs à travers un jeu de questions posées sous forme de panneaux. Se prête ici au jeu Travolta, Connie Nielsen et Brian Van Holt


Le film vu par le scénariste (16’35) : On est surpris par la jeunesse du scénariste mais aussi par son assurance à mener cette histoire. Je n’ai pas réussi à activer les sous-titres sur ce bonus


Le film vu par l’équipe (21’35) : Interview de tous les protagonistes, techniciens , acteurs, scénariste pour faire une promo sympa à John Mc Tiernan qui le mérite bien. Pas de sous-titre dispo non  plus sur ce titre. Ce sera peut-être corrigé sur la version définitive.


Un dernier mot sur les bonus

Une promo bien sympathique pour un film qui ne l’est pas moins.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage