Le privé

Titre Original
The Long Goodbye
Genre
Pays
USA (1973)
Date de sortie
mardi 2 mars 2004
Durée
121 Min
Réalisateur
Producteurs
Jerry Bick
Scénaristes
Leigh Brackett
Compositeur
John T. Williams
Format
Dvd 9
Site Internet
Informations
Complémentaires
D'après l'oeuvre de Raymond Chandler
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Espagnol
Oui
Non
Non
Italien
Oui
Non
Non
Allemand
Oui
Non
Non
Anglais
Oui
Non
Non
Français
Oui
Non
Non
Portugais
Oui
Non
Non
Suédois
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de Laurent Berry
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
121 min
Nb Dvd
1


L’histoire 

A Los Angeles, le célèbre privée Philip Marlowe affronte le cas le plus étrange de sa carrière. Car ce qui semble être le suicide de son meilleur ami, se révèle être un double meurtre dans lequel sont impliqués une blonde sexy, un gangster détraqué, et une mallette pleine de billets. Et tandis qu’il s’approche de la vérité, Marlowe se retrouve pris au piège d’un dédale mêlant sexe et trahison.

Critique subjective

Le film s’annonce comme un polar pur et dur mais il on déchante vite. En effet, en dépit du caractère sympathique du privé John Marlowe interprété par Elliot Gould on en vient à regretter Dirty Harry. Le privé Marlowe ne fait une démonstration ni d’un grand sens de l’enquête à la Columbo, ni un grand sens du combat. Il habite seul avec un chat, tout en haut d’une tour et a des voisines qui font du yoga seins à l’air. C’est un peu la vie ordinaire d’un privée ordinaire.

Le scénario qui aurait pu servir une intrigue bien sinueuse, avec rebondissements et suspens à suer à grosses goûtes finit un peu à plat. Le meilleur ami de Marlowe vient le voir, il a des traces de luttes sur le visage et lui demande de l’aider à partir au Mexique pour se planquer. Sa femme a été assassinée et il dit ne pas en être le meurtrier. Quelques jours plus tard Marlowe apprend la mort de son ami qui se serait suicidé au Mexique. Il se rend sur les lieux mais ne trouve rien de concluant et rentre enquêter aux états-unis. Ensuite on assiste à un enchaînement de scènes durant lesquelles Marlowe rencontre différents protagonistes de l’histoire plus ou moins proches de son ami.

Un gangster qui recherche sa mallette de billets et qui pense que Marlowe l’a récupéré par son ami lui rend visite et lui fait un coup à la Kaiser Sose en frappant au visage avec une bouteille sa petite amie qu’il aime tant. Ah l’amour. Ces malfrats le suivent et on assiste à un début de strip-tease ordonné par les chef des malfrats pour que Marlowe puisse dire la vérité sur l’argent. Pour lui dire la vérité à poil ça a plus de valeur que si on est habillé, hilarant.

Durant cette scène on peut remarquer la présence d’Arnold Schwarznegger à l’époque où il portait les cheveux plus long, et ne s’était pas encore fait retailler la mâchoire. Il fait juste l’homme de main qui dit rien et montre ses gros muscles. Dans une autre scène où Marlowe est en garde à vue c’est David Carradine qui joue le rôle d’un camarade de cellule.

Je vais un peu vendre la mèche en racontant la fin de l’histoire mais on s’en doute un peu.

Ensuite le mari de la belle blonde du synopsis se noie, complètement soul et Marlowe finit par comprendre que l’on s’est servit de lui et qu'elle est pas claire (elle est en faite la maîtresse de son ami). Il retourne au Mexique et tada !!! , obtient des policiers mexicains la vérité. Son ami est vivant et il le retrouve pour lui faire la peau parce que Marlowe il aime pas qu’on lui dise qu’il est un looser et comme il a aussi perdu son chat (sale bête fugueuse et qui mange pas n’importe quoi en plus)  il est un peu énervé.

Verdict

L’histoire annonce un film riche en rebondissements mais ne vous y tromper pas ça manque de piment. C’est dommage parce qu’il y avait de quoi faire un polar haletant (même la scène où Marlowe court après la voiture de la belle blonde qui file sans s’arrêter est plate). Quelque part en chemin, la sauce a pas prit.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1
L'image est correcte. Il n'y a aucun défaut à signaler mais les couleurs sont un peu vieillotes. Mais cela est sans doute du à la pellicule et à l'éclairage d'origine.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
1.0
Anglais
1.0
Allemand
1.0
Italien
1.0
Espagnol
1.0
Le son qui est une version Dolby Digital Mono restaurée ne fournit aucune surprise ni en bien ni en mal. Il ne vaut s’attendre à une spatialisation fantastique car à vrai dire on n’en perçoit pas sinon la dynamique est correcte. Dans l’ensemble le son est correct et passe bien.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
2 min
Boitier
Amaray
En terme de bonus, il n'y a que la bande annonce originale de 2mn23. Et ..., l'apparition de Schwarzenegger en homme de main contraint à se déshabiller ainsi que la présence de David Carradine.
Bonus
Livret
Bande annonce
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