Ocean's Twelve (C)

Titre Original
Ocean's Twelve
Genre
Pays
Usa (2004)
Date de sortie
mercredi 15 juin 2005
Durée
125 Min
Réalisateur
Producteurs
Jerry Weintraub
Scénaristes
George Nolfi
Compositeur
David Holmes
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Français
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Collector
Label
Zone
2
Durée Film
125 min
Nb Dvd
2


SYNOPSIS:

Trois ans ont passé depuis le braquage historique du casino Bellagio de Las Vegas. Depuis, Danny Ocean et ses associés se sont dispersés dans la nature avec l'intention de mener une existence honnête. Remarié à Tess, ce dernier joue "profil bas" jusqu'au jour où Terry Benedict retrouve sa trace. Le propriétaire du Bellagio n'y va pas par quatre chemins : la bande doit, sous peine de mort, lui restituer le magot. Et ce n'est qu'un début, car quelqu'un d'autre s'intéresse de très près aux agissements de la bande des Onze...

Critique Subjective

La suite, la suite, la suite…..

Sorti en Décembre 2001, Ocean Eleven dépassa toutes les espérances de son producteur Jerry Weintraub. C’est à Rome durant la tournée de promotion du film qu’est prévu l’éventualité d’une suite , même s’il paraissait improbable de réussir à réunir un tel casting. Pourtant dès son arrivée à Rome, Steven Soderbergh tombe amoureux de cette ville. De retour à Los Angeles Weintraub trouve une nouvelle inspiration dans un scénario de George Nolfi « Honor among Thieves », une aventure mettant en scène le plus grand voleur européen aux prises avec le plus grand voleur d’Amérique. Le challenge étant alors d’adapter ce scènario à une douzaine de personnages. Soderbergh offre alors à Vincent Cassel, le rôle du richissime Play Boy et gentleman cambrioleur François Toulour, alias le renard de la nuit. Leur première rencontre a lieu à Cannes en 2003 et Cassel donne son accord sans avoir lu le scénario.

Twelve

Réunir autour d’un casse de 180 millions de dollars certaines des plus grandes stars du monde constituait en 2001 un défi aussi audacieux que la mise à sac de Las Vegas, les rassembler 3 ans plus tard en leur ajoutant encore une poignée de célébrité paraissait tout bonnement impossible. A la fin d’Ocean Eleven, la bande se dispersait et chacun partait avec sa partie du magot vers une destination inconnue. 3 ans plus tard, nos audacieux voleurs ont du mal à réfréner leurs instincts et à mener une vie honnête, en effet, ils ne sont jamais aussi heureux que lors de la préparation d’un coup. Le tournage se déroule alors pendant dix semaines entre Chicago, Amsterdam, Paris, Monte Carlo et Rome, en passant par le lac de Côme et Castellmare del Golfo en Sicile.

Et donc ?

Ce qui faisait le charme de Ocean 11 tenait en peu de choses finalement, une belle histoire d’équipe et de sa constitution, une belle histoire d’amour et surtout une belle histoire de casse et de sa préparation. Le rythme était soutenu et les pérégrinations de nos stars étaient passionnantes à suivre. Toutes ses qualités ont disparu dans Ocean 12. Andy Garcia est ravalé au rang de faire valoir et toute la force du personnage de Benedict a disparu. De plus le casse et sa préparation est bâclé et n’offre que peu d’intérêt.  De plus le délire autour de Bruce Willis jouant son propre rôle avec Tess alias Julia Roberts jouant a être le sosie de Julia Roberts est profondément ennuyeux dans sa pseudo-réflexion sur la notion de jeu et d’acteurs, on se croirait dans Full Frontal,autre ratage du réalisateur. De plus le personnage de Vincent Cassel joue un français absolument détestable qui dénonce l’équipe américaine au risque de les faire tuer. Vu le contexte anti-français aux Usa depuis la guerre en Irak, on ne peut qu’être sceptique devant  la teneur de ce rôle.

Un dernier mot

Ocean Twelve est un film bavard et ennuyeux. Quel gâchis ! Que le réalisateur n’oublie pas que 13 est un chiffre maudit aux Etats-Unis.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.40:1


L’image parait belle aux premiers abords puis on s’aperçoit assez rapidement que la compression est un peu défaillante et que les arrières plans ne sont pas très stables et grouillent un peu. Défauts qui paraissent étrange sur un master aussi récent et sur un film à aussi gros budget. Mais l’ensemble reste assez correct avec une belle lumière et une définition assez pointue.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Anglais
2.0
Anglais
5.1


Les dialogues sont clairs et précis et la scène frontale est bien exploitée. Mais le mixage délaisse totalement les surrounds . En Vo comme en Vf d’ailleurs. Intrigué devant ce mixage défiant toutes les règles modernes, je suis passé à la Dolby Surround, ah les pistes audio que l’on peut changer à la volée sans repasser par le menu sont un bonheur pour le testeur, qui est nettement plus dynamique et enjouée que ses consoeurs Digitales. Allez comprendre !!!!

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
40 min
Boitier
Amaray avec fourreau cartonné


Scènes Inédites (27’09) : Scènes totalement finalisées

Making Of HBO (13’02) : Ce making of a été conçu pour la chaîne câblé HBO et c’est en fait une promotion de 13 mns afin de vendre le film. Nous sommes dans al promotion la plus pure.

Un dernier mot sur les bonus

Un DVD bonus qui n’a pas lieu d’être vu que les 40 malheureuses minutes de bonus auraient pu se trouver sur le premier DVD. Dispensable.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage