Coffret 5 DVD Johnny Depp + 1 DVD bonus

Résumés :

Dead Man (1995) de Jim Jarmusch – 134 mn - Allemand, américain - 1.77.1
William Blake, un jeune homme naïf élevé à Cleveland part dans l'Ouest américain pour prendre un poste de comptable. Arrivé à destination, rien ne fonctionne comme prévu et l'innocent devient un meurtrier involontaire bientôt pourchassé par un trio de tueurs à gages. Grièvement blessé, il fuit et rencontre Nobody, un indien bienveillant et érudit qui lui sauve la vie et l'accompagne dans un étonnant voyage...

Donnie Brasco (1997) de Mike Newell – 125 mn - Américain - 2.35.1
1978, New York. L'agent Joe Pistone (Johnny Depp)a été désigné par le FBI pour s'infiltrer dans le clan Bonano, une des familles les plus puissantes de la mafia new-yorkaise. Pour mener à bien sa mission, il contacte un modeste et naïf tueur de l'organisation : Lefty Ruggiero (Al Pacino) en se faisant passer pour un joaillier du nom de Donnie Brasco. Basé sur une histoire vraie, la tête de cet agent du FBI est encore aujourd'hui mise à prix par la mafia.

Las vegas parano (1998) de Terry Gilliam – 118 mn - Américain - 2.35.1
Dans les années 70, Raoul Duke, journaliste, et son avocat de Dr Gonzo, partent pour Las Vegas, le coffre de leur voiture bourré de drogues interdites. Mais rapidement, leur voyage se transforme en un enchaînement de délires hallucinatoires...

Le chocolat (2001) de Lasse Hallström – 121 mn - Britannique, américain - 1.85.1
Vianne décide de s'installer avec sa fille Anouk dans un petit village français et d'y ouvrir une confiserie. Elle y propose d'irrésistibles friandises. Ces délicieuses sucreries ne se contentent pas d'enchanter les papilles, elles soignent les espoirs perdus et recueillent des sentiments inattendus dans les coeurs. Tout ceci n'est pas du goût du comte de Reynaud, convaincu que les merveilleux chocolats de Vianne menacent l'ordre, la moralité et vont semer la révolution en ville...

Neverland (2003) de Marc Forster – 101 mn - Américain - 2.35.1
Londres, début du XXe siècle. L'écrivain James M. Barrie est quête d'un nouvel élan dans sa vie comme dans son oeuvre. Au cours d'une promenade, il fait la connaissance de Mme Llewelyn Davies et de ses quatre fils. De la complicité grandissante entre l'écrivain et les enfants naît une précieuse source d'inspiration. Ensemble, ils commencent à tisser la trame fantastique et visionnaire de Peter Pan...
Critique artistique :

La vie de Johnny Depp ressemble à un roman candidat à l’adaptation cinématographique à l’instar de la vie de Ed Wood qu’il incarnera en 1999 sous la direction de Tim Burton. Il débute en s’intéressant à la musique et en faisant la première partie d’une tournée d’Iggy Pop. Son groupe ne rencontre cependant pas le succès escompté et sa rencontre avec Nicolas Cage va lui donner l’occasion de décrocher un petit rôle dans Les Griffes de la nuit (1984) de Wes Craven. Après des cours de comédie il joue dans le cultissime Platoon (1986), puis connaît la célébrité avec le lancement, en 1987, de la série 21 jump street (actuellement rediffusée sur AB1). Ensuite et en particulier après avoir joué dans Cry Baby (1990) de John Waters, l'acteur ne cessera d'être en marge, incarnant régulièrement des personnages décalés et hors normes comme dans Ed Wood (1994), Edward aux mains d’argent (1999), Sleepy hollow, la légende du cavalier sans tête (1999), Arizona dream (1992), Dead man (1995), Las Vegas parano (1998), Pirates des Caraïbes (2003) voire Neverland (2003). En plus d’un succès mondain et dans la presse people, l’acteur coule des jours heureux aux côtés de la comédienne française, Vanessa Paradis, elle-même une enfant de la balle si l’on en juge par son parcours.

D’une telle filmographie il est difficile de faire une sélection de 5 films à proposer dans un coffret sans faire des mécontents et pour cause puisqu’il ne s’agit pas vraiment des films les plus marquant de Johnny Depp. En effet, dans Le chocolat (2001), l’acteur apparaît assez tardivement dans un film où l’on remarque surtout Juliette Binoche aux côtés de laquelle il incarne un séduisant amoureux et voyageur bohême (qui n’apparaît dans le film qu’au bout d’une heure), aussi faut-il se reporter sur les 4 autres films : Dead man (1995), Donnie Brasco (1997), Las vegas Parano (1998) et Neverland (2003) pour voir Johnny Depp livrer une performance d’acteur marquante. On peut y voir l’acteur incarné des personnages décalés et extravagants (Dead man, Las Vegas Parano), fantasques et imaginatifs (Neverland), romantiques (Le chocolat) voire doubles et torturés (Donnie Brasco) où l’acteur se retrouve dans la peau d’un flic infiltré dans les milieux mafieux tout en éprouvant des sentiments amicaux pour certains de ceux qu’il espionne. Il est probable que l’on aurait apprécié trouver des films tels que Edward aux mains d’argent, Arizona dream (1992) ou Charly et la chocolaterie (2005) dans ce coffret et à la place de Le Chocolat et de Las vegas parano dont la deuxième partie est plus laborieuse. Par ailleurs, Dead man n’est pas le plus consensuel de ce coffret et pourra en dérouter certains par son côté énigmatique.

Dead Man (1995) de Jim Jarmusch se présente comme un western bizarre que l’on ne peut pas considérer comme accessible à l’instar de l’étonnant Ghost Dog : la voie du samouraï (1999) que Jim Jarmush signe quelques années plus tard mais où l’on suit un samouraï noir moderne nommé Ghost Dog incarné par Forest Whitaker qui s’avère être un tueur professionnel étudiant un ancien texte samouraï. La proposition est aussi inhabituelle que celle de Deadman où Johnny Depp incarne William Blake, un jeune comptable qui se rend dans le Far West pour raison professionnelle mais deviendra un hors la loi suite à une vengeance amoureuse. Par la suite le héros va rencontrer un indien qui le prendra pour l’authentique poète également prénommé William Black provoquant alors une étrange succession de situation qui entraîne le film au delà du western et du sens commun. On se retrouve au cœur d’une quête, presqu’une épopée ésotérique en plein farwest avec pour guide, un indien facétieux. Dead man constitue pratiquement un western chamanique où le jeune comptable William Black est initié à des vérités surnaturelles avant de partir à bord d’une pirogue vers un au-delà mystique et ultime.

Si Dead man(1995)  conduit Johnny Depp à incarner un personnage qui semble manipuler par les évènements, dans Las vegas parano (1998) de Terry Gilliam, son personnage, Raoul Duke, journaliste, et son avocat le Dr Gonzo (incarné brillamment par Benicio Del Toro), vont de manière volontaire et systématique s’initier à des délires hallucinatoires au moyen d’une consommation insensée de psychotropes. Dans ce film, Johnny Depp incarne un personnage tout à fait inhabituel cependant, à cause du physique très peu avantageux de Raoul Duke qui apparaît comme un type peu sympathique, arborant une sorte de chapeau bob surmontant un crâne chauve, portant des lunettes rayban et globalement habillé avec un goût douteux. Le personnage s’avère à la fois intéressant et fatiguant à suivre à cause de sa pratique quotidienne d’un journalisme gonzo, approche qui fait la part belle à l'anecdote et au récit de beuveries avec prises de drogues. Le journalisme Gonzo (Gonzo journalism) est une méthode d'investigation journalistique axée sur l'ultra-subjectivité, utilisée et popularisée notamment par Hunter S. Thompson qui l’a réellement pratiqué. Quand on sait que le terme Gonzo, d’origine irlandaise décrit le dernier homme debout après un marathon alcoolisé on prend la pleine mesure de l’histoire décrite dans Las vegas Parano, adaptation du roman éponyme de Hunter S. Thompson. En dépit d’un film très délirant et d’un jeu d’acteur très poussé de Johnny Depp et de son complice Benicio Del Toro, la deuxième partie du film peine à convaincre peut-être parce que l’on se lasse de l’état constant d’excitation de Raoul Duke.

A l’inverse, Donnie Brasco (1997) est un bon vieux film de gangster de facture classique où le duo Johnny Depp / Al Pacino fait merveille en incarnant deux personnages d’une histoire vraie. Cette fois Johnny Depp incarne Donnie Brasco, un agent du FBI dont la tête est encore aujourd'hui mise à prix par la mafia. L'agent Joe Pistone est désigné par le FBI pour infiltrer le clan Bonano appartenant à la mafia new-yorkaise mais doit devenir l’ami de Lefty Ruggiero (Al Pacino) en se faisant passer pour un joaillier du nom de Donnie Brasco. Le personnage du flic infiltré incarné par Johnny Depp offre donc l’avantage de permettre un jeu subtil, alternant entre l’envie de remplir son rôle de défenseur de la justice et la tentation de céder à l’influence de la mafia. Le point fort du film est incontestablement de montrer la pression exercée sur l’agent Joe Pistone qui continue à avoir une vie de famille qui s’en trouve très perturbée. L’infiltré doit donner le change et gérer une sorte de paradoxe du comédien devant faire croire aux autres qu’il est vraiment ce qu’il laisse paraître. On prend pleine mesure de ce paradoxe quand il veut proposer à son ami mafieux Lefty Ruggiero, une somme d’argent importante pour qu’il puisse réaliser son rêve le plus cher. Il est difficile de vivre en communauté même en tant qu’infiltré sans tisser une forme d’amitié avec ceux que l’on est censé surveiller voire punir.

A côté de ces différents films, johnny Depp a incarné plusieurs personnages dans des films pourvus d’une dimension fantastique tels que Edward aux mains d’argent (1999), Sleepy hollow, la légende du cavalier sans tête (1999), Arizona dream (1992) et La saga de Pirates des caraïbe (2003-2006). Dans Neverland(2003) on retrouve Johnny Depp dans la peau de l'écrivain James M. Barrie. Le personnage du romancier est certainement romancé par le scénario de Neverland (2003) mais à coup sûr magnifié par la performance aérienne de Johnny Depp. L’effet Johnny Depp existe, transformant l’espace de la narration en quelque de chose de profondément ludique rendant par la même toute situation nouvelle. Il faut avouer que le comédien se fait une spécialité de rendre crédible n’importe quel personnage un tantinet fantastique. On se rappelle de l’étrangeté du personnage qu’il incarne dans  Il était une fois au Mexique Desperado 2 (2003), de Robert Rodriguez.  Dans ce film il joue le rôle, d'un agent de la CIA prénommé Sands, tout de noir vêtu, qui finit criblé de balles, les yeux crevés mais semble increvable, presque immortel. On dirait un personnage découlant d’un croisement entre Edward aux mains d’argent et Dead Man. Même dans ce film d’action, on ressent comme une énergie résiduelle de ses différents rôles fantastiques.

Verdict :

Il est difficile de faire une sélection de 5 films dans la filmographie de Johnny Depp afin de proposer un coffret DVD sans faire des mécontents en particulier quand les cinq films proposés ne sont pas vraiment les plus représentatifs et marquants de sa carrière. On restera assez étonné que Le Chocolat figure dans ce coffret et on attribuera sa présence à la fois à celle de Juliette Binoche dans le rôle principal et peut-être à des difficultés d’obtenir les licences d’autres films. Ce coffret s’adresse plutôt aux fans de Johnny Depp ou de réalisateurs comme Terry Gilliam ou Jim Jarmusch même si Neverland est un film assez sympathique.

Dans l’ensemble, les master des 5 films sont de bonne facture et l’image de bonne qualité. On peut dire que le niveau technique de ce coffret est très bon.

Dead man (4/5) la master est très bien. On pourra trouver que la définition de l’image manque d’un peu de détail bien que le noir et blanc est assez bien contrasté et qu’on obtient tout de même un joli piquet d’image. Le début du film avec les décors du grand ouest est d’ailleurs trop beau à regarder. Cependant il me semble que la compression est un peu trop forte à moins qu’il en s’agisse d’un manque de netteté lors de la prise de vue. On a quelques striures sur les lignes dans l’image.

Donnie Brasco (4/5) on a un master assez propre dans l’ensemble mais on retrouve quelques tâches blanches et noires et parfois des points noirs plus gros. La compression est correcte et l’image dans son ensemble assez chaude et belle. La colorimétrie de ce film est asse chaude en dépit de l’ambiance polar. On a une bonne netteté et une compression correcte même si les striures sur les arrêtes laissent penser que le format 2.35.1 supporte moyennement le transfert sur DVD. Ce qui est fait pour être vu en grand ne passe pas forcément aussi bien une fois réduit.

Las vegas Parano (4/5) a un master très propre et une belle image en partie grâce à une colorimétrie très riche, chaude et ébouriffante. La netteté est très bonne ce qui permet de détailler l’image truffée de détails sordides ou amusants. Les effets visuels comme ceux où les motifs de la moquette se mettent à bouger sont très bien réussis et intégrés à l’image. Même en vieillissant il semble que ces effets soient parfaitement composités pour traverser les années.

Le chocolat (5/5) a une image très nette et un master propre. On note que la colorimétrie fait le contraste entre l’ambiance froide et terne du village et le rouge saturé des manteaux de Vianne et de sa fille Anouk. On a ainsi une dominante de verts qui contraste fortement avec les couleurs chaudes et aguicheuses de la chocolatière qui amène le plaisir aux habitants. La compression est très bien senti et le transfert sur DVD parfaitement maîtrisé.

Neverland (5/5) propose une belle image, une bonne compression et une définition impeccable. Une colorimétrie chaude qui correspond pleinement à la féerie de Neverland et de Peter Pan. On a une colorimétrie riche en verts et les rouges explosent avec force. Un beau piquet d’image et un contraste marqué.

Cette édition DVD comporte 5 films et par conséquent de nombreuses pites audio. Dead man et Donnie Brasco sont fournis avec une piste audio Dolby Digital 2.0 en version française (192 Kbps) et une piste audio équivalente en version originale sous-titrée (192 Kbps). Las vegas Parano propose une piste audio PCM surround en version française (384 Kbps) et une piste audio équivalente en version originale sous-titrée (384 Kbps). Le chocolat et Neverland  sont chacun pourvus de 4 pistes audio dont deux pistes audio Dolby Digital 5.1 en version française et version originale sous-titrée (448 Kbps) ainsi que de pistes audio DTS 5.1 (768 Kbps) équivalente. Le DVD bonus de Le chocolat est livré avec une piste audio Dolby Digital 2.0 (448 Kbps).

La piste en version française sur Dead man est assez frontale, les surround sont assez neutres et la spatialisation très moyenne voire nulle. On a cependant une piste qui remplit son office.

Pour Donnie Brasco, la piste audio en Version Originale semble plus puissante à l’écoute, plus englobante que la piste en version française par moment. Cependant, cette impression s’inverse selon le passage que l’on écoute (10mn, passage où la musique sonne très fort sur la VO), aussi vaut-il mieux se fier à sa propre écoute et surtout choisir la piste pour la visionnage en fonction de sa préférence pour les voix originales ou pas. La version française n’a pas à rougir de la version originale.

Les deux pistes PCM de Las vegas parano s’expriment sur les surround et permettent de vivre une expérience sonore appréciables en particulier si on écoute la piste audio en version originale. Les voix au débit rapide de Johnny Depp et Benicio Del Toro sont un régal pour l’oreille tant les deux acteurs véhiculent la folie furieuse de leur personnages sous psychotrope.

A niveau d’écoute égale, les pistes audio Dolby Digital 5.1 de Le chocolat nécessitent d’augmenter le volume d’écoute et sont équivalentes d’un point de vie technique. Les pistes audio DTS 5.1 semblent un peu plus puissantes à l’écoute. Elles offrent une enveloppe sonore plus englobante et plus riche. Les pistes se réveillent principalement lors de passages musicaux où l’on entend souvent des instruments à cordes riches en sonorités. Finalement le principal critère pour choisir une piste audio est le facteur linguistique car les deux versions se valent peut-être parce que l’histoire est censée se dérouler en France et qu’il y a des acteurs français dans la distribution.

Les pistes DTS de Neverland se réveillent vraiment que lors des passages musicaux riches en instruments à cordes ou sur els passages animés comme à la sortie du théâtre et les pistes Dolby Digital 5.1 s’expriment plutôt sur les enceintes avant tout en sonnant de manière moins pêchue que les pistes DTS.

Ce coffret 5 DVD consacré à Johnny Depp repose sur une sélection de films parmi lesquels, le film Le chocolat parait peu pertinent compte tenu de l’apparition tardive du comédien dans l’histoire. Nous pensions que ce film avait été retenu en raison de la présence de l’actrice Française Juliette Binoche dans le rôle principal ; cette impression semble être confirmé par la présence d’un DVD bonus accompagnant ce seul film. L’entretien écrit avec Jim Jarmusch apparaît comme l’un des plus intéressants de tout les bonus car il y apporte des informations très précises sur ses intentions dans Dead Man. Le making-of de Las Vegas Parano apporte des témoignages sur l’approche artistique et le jeu des acteurs. Le making–of, La magie de Neverland est également un des documents attractifs des bonus mais il faut avouer que ce coffret 5 DVD Johnny Depp ne vaut pas vraiment pour ses bonus.

Bonus Dead man :
- Filmographies de John Hurt, Lance Henriksen, Robert Mitchum, Johnny Depp, Jim Jarmusch
- Entretien avec Jim Jarmusch : entretien écrit à consulter en faisant défiler les pages.
- Bandes-annonces
- Liens Internet : www.tf1video.fr et www.bacfilms.com
- Chapitrage

Bonus Donie brasco :
- Filmographies
- Chapitrage

Bonus Las vegas Parano :
- Making-of sous-titré (10mn 19): Petit making-of où s’expriment Terry Gilliam, Johnny Depp et Benicio Del Toro sur le film et leurs personnages. On en apprend pas tellement plus qu’en regardant le film. Hormis la prise de poids de 20 kg de Benicio Del Toro le reste des informations qui sont délivrées sont passablement intéressantes d’autan que le document est entrecoupé par de nombreux extraits du film.
- Bande-annonce du film
- Les filmographies de Johnny Depp, Terry Gilliam
- Chapitrage

Bonus Le chocolat (DVD 1 et DVD 2):
- Le vent du Nord
- Lien Internet www.tf1video.fr
- Chapitrage
- Les petits délices : Le making–of (17mn 16), les scènes coupées (7mn 22)
- Les délices sucrés : L’envers du décor(4mn 40) ; L’équipe du film : Lena olin, Johnny Depp, Judi Dench, Juliette Binoche, Alfred Molina, Peter Stormare, Lasse Hallström ; la bande-annonce (1mn 44).
- Le chocolat chaud : la recette du chocolat chaud présenté par Lindt (ah le chocolat) + possibilité de voir la scène originale du film où Juliette Binoche en parle.

Bonus Neverland
- Scènes coupées avec ou sans commentaires (2mn 39)
- Making–of, La magie de Neverland (16mn 10) : sous-titré
- Créer Neverland, les effets visuels (3mn 08)
- Tapis rouge de la première du film (2mn 30)
- Bêtisier (5mn 35)
- film-annonce en Vf ou VO (1mn 31)
- Lien Internet www.tf1video.fr
- Chapitrage

Menus
Les menus sont assez différents selon le DVD que l’on visionne. Ceux de Neverland sont très beaux et travaillés pour rendre l’impression de féerie qui habite le film tandis que ceux de Las vegas parano sont excentriques et hallucinés. De toutes les interfaces la plus basique et presque négligée est celle de Donnie Brasco qui est très simple et dépouillée. L’interface de Dead Man reste en noir et blanc avec une touche de rouge pour attirer l’attention sur les zones cliquables. Pour el chocolat on a affaire à une interface où transparaît un certain goût pour le chocolat et les douceurs. D’ailleurs les titres des rubriques font références à un vocabulaire relatif au monde de la dégustation de friandises comme le chocolat.