Les frères scotts : Saison 5

Genre
Pays
USA (2008)
Date de sortie
dimanche 3 mai 2009
Durée
566 Min
Réalisateur
Producteurs
Mark Schwahn
Scénaristes
Divers
Compositeur
John Nordstrom
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Oui
Oui
Oui
Français
Oui
Oui
Oui
Néérlandais
Oui
Oui
Oui
Le Film
Critique de Emmanuel Galais
Editeur
Edition
Standard
Label
Zone
2
Durée Film
566 min
Nb Dvd
5

Deux demi-frères se retrouvent rivaux tant sur le terrain de basket que dans le cœur d’une fille.

Pour cette cinquième saison, on retrouve donc Lucas (Chad Michael Murray) et Nathan (James Lafferty) empêtrés dans leurs aventures mélo romantiques, pour le plus grand plaisir des adolescentes et ménagères de moins de 50 ans. L’ensemble joue continuellement sur la corde sensible du sentiment malmené et du cœur à prendre ou à reprendre. L’ensemble ne sort, bien évidemment, pas de la boite aux milles idées originales de séries, mais elle a le mérite de reprendre, depuis maintenant pratiquement 7 saison, une recette avec brio.

Les acteurs sont choisi pour leur physique, plus que pour leur talent, mais ne s’en sortent pas mal et la cible adolescente est particulièrement chouchoutée, avec une intrigue à tiroirs, et de multiple retournement de situation. Les aventures de ces amis de Tree Hill, ne sont d’ailleurs pas éloignées de celles de la bande de « Beverly Hills » qui bien des années plus tôt s’étaient aussi rencontré, lorsqu’ils étaient au collège pour ensuite se retrouver au lycée, puis à la fac et enfin dans leurs premiers pas dans la vie active. Une véritable source d’intrigues plus passionnantes les unes que les autres, mais surtout un peu plus rythmée que « Les Frères Scott ».

Car voilà, le problème de cette série phare des adolescents c’est le rythme. En effet, les scénaristes emblent avoir été pris de léthargie et avoir écrit le scénario sous Lexomil. Les intrigues et les dialogues sont languissant, ils ne parviennent jamais à donner suffisamment d’intérêt pour tenir éveiller le spectateur. Encore plus lorsque la réalisation se veut aussi énergique qu’une armée de limaces en déroutes. Le ton est sombre, en y ajoutant des musiques particulièrement mélodieuses, on obtient encore plus de léthargie pour le spectateur déjà bien endormi. Et c’est d’ailleurs là tout le problème, l’ensemble de la série, et la saison 5 n’y fait pas exception, semble calqué sur un schéma, semi somnolent assez pesant pour le néophyte. Pour faire un parallèle, on pourrait même aisément imaginer que la série ressemble à l’expression de Chad Michael Murray, qui ne cesse tout au long des épisodes, de parler peu, plisser beaucoup les yeux pour avoir l’air plus mystérieux et sexy et de marcher doucement pour mieux faire ressortit son côté cool.

Côté évolution des intrigues, on pourrait résumer la saison 5 comme un shaker : On prend les mêmes, on mélange, on change le conditionnement et on obtient une saison 5 presque surprenante, avec presque des retournements de situations, avec presque des évolutions, mais surtout une véritable envie que cela s’arrête enfin.

En conclusion, une saison 5 qui fait semblant d’être différente, mais qui souffre toujours autant des maux des  précédentes : Le rythme, l’originalité et l’inspiration 

L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Une image correcte sans être exceptionnelle, jouant sans superflu, des différences de luminosités qui parcellent l’ensemble. Les contrastes donnent un relief agréable et mettent en valeur les éléments de la série.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
2.0
Anglais
2.0
Côté son, une piste stéréo, suffit à la série. La musique qui reste particulièrement présente tout au long des épisodes, n’en sort pas affaiblie et l’on garde tout de même encore suffisamment d’énergie dans l’ensemble.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
45 min
Boitier
Amaray
De vrais bonus avec pour chaque DVD, une flopé de scènes inédites, puis des interviews des créateurs et des acteurs sur l’évolution de la série (Rien de mauvais, évidemment, on nage toujours dans le chef d’œuvre), puis une compilation des Guest stars qui ont jalonnées la cinquième saison, puis pour finir, le clip de « Only Fooling Myself » et un bêtisier. Une édition qui en donne pour son argent !
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage
La 100ème des Frères Scott