Conan, le BarbantSynopsisFaisant équipe avec Kalidor, un valeureux guerrier, Red Sonja souhaite venger la mort de ses parents tués par la reine Gedren et mettre fin à son désir de conquérir le monde grâce aux pouvoirs d'un talisman
Critique SubjectiveSchwarzy le BarbareNon seulement Arnold Schwarzenegger retrouve un personnage de barbare, cette fois-ci différent de Conan, mais il collabore également à nouveau avec
, le producteur de la saga
Conan, et avec Richard Fleischer, le réalisateur de Conan le destructeur. Comme les deux volets de la saga Conan Kalidor : la légende du talisman est basé sur l'oeuvre littéraire de Robert E. Howard, une sommité du roman d'
heroic-fantasy.
Brigitte Nielsen, courte vétueKalidor : la légende du talisman révéla au grand public la sculpturale Brigitte Nielsen, jusqu'alors mannequin dannois. Donnant ici la réplique à
, elle sera mariée de 1985 à 1987 à un autre "Monsieur Muscle" : Sylvester Stallone, son partenaire dans Rocky IV, Cobra.Blonde à forte potrine, le film est centrée autour de sa plastique. En 1979, le producteur Edward Pressman (The Crow) annonce la mise en chantier du film Conan Le Barbare, personnage inventé par l'écrivain Robert E.Howard dans les années 30. Arnold Schwarzenegger alors en plein boom depuis la comédie Hercule A New York, fut contacté bien avant que l'équipe technique du film ne soit constitué.
Un barbarismeEn attendant le début du tournage, l'acteur se lance dans un entraînement intensif de musculation, d'équitation, des armes, et essaie de perdre. Bien lui en a pris puisqu’il a pu décliné ce personnage dans pas mal de film. On est bien loin du souffle épique de Conan le Barbare de John Millus. Le tout fait un peu carton pâte et Brigitte Nielsen n’est jamais crédible dans le rôle de Sonia la Rousse. Les fans de la Bd s’attendaient à une représentation filmée beaucoup plus belle et pulpeuse. Quant à Shwarzy il est plus monolithique que jamais, un vrai Terminator.
Un dernier motLa copie n’égale pas l’original.
L’image n’est pas très net et manque un peu de définition. Les scènes d’incendie et de brouillard laisse apparaître de nombreux artefacts de compression. Quand les personnages sont plongés dans le noir, les spectateurs aussi