2012 

Pays
USA (2009)
Date de sortie
jeudi 11 mars 2010
Durée
130 Min
Réalisateur
Format
Dvd 9
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Anglais
Non
Non
Non
Français
Oui
Oui
Non
Le Film
Critique de Fabrice Navarro
Editeur
Edition
Collector
Label
Zone
2
Durée Film
130 min
Nb Dvd
2
Synopsis.
Les Mayas, l'une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées, nous ont transmis une prophétie : leur calendrier prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, les astrologues l'ont confirmé, les numérologues l'ont prédit, les géophysiciens trouvent cela dangereusement plausible, et même les experts scientifiques gouvernementaux finissent par arriver à cette terrifiante conclusion. La prophétie maya a été examinée, discutée, minutieusement analysée. En 2012, nous saurons tous si elle est vraie, mais quelques-uns auront été prévenus depuis longtemps... Lorsque les plaques tectoniques se mettent à glisser, provoquant de multiples séismes et détruisant Los Angeles au passage, Jackson Curtis, romancier, et sa famille se jettent à corps perdu, comme des millions d'individus, dans un voyage désespéré. Tous ne pourront pas être sauvés...

Critique subjective.

Gros blockbuster = mini critique.
Oui, je n'avais pas pu (voulu?) voir le film à sa sortie sur grand écran car j'avais comme un préssentiment. La sensation d'avoir vu le film sans l'avoir vu tout simplement parce que j'avais déjà visionné et apprécié "Le Jour d'Après" qui donnait déjà lieu à des scènes similaires de catastrophes naturelles détruisant tout (en particulier les Etats Unis) sur leur passage et qui vous collait une sacrée claque visuelle.

Alors 2012, c'est quoi ? Et bien c'est une sorte de "Jour d'Apres" remastérisé si vous préférez. On reprend la même trame : un président des états-unis (important, ça), des chercheurs un peu partout dans le monde qui tirent la sonnette d'alarme (mais qui sont écoutés ce coup-ci), pleins d'histoires parallèles de gens dont le tout le monde se fout ou presque (surtout ici tellement c'est creux), des gigas catastrophes (plus giga ici)  qui tuent plein de gens partout et au final tout ce petit monde converge (ou pas) en ayant échappé à des dangers / situations inouis de chez inouis enlevant toute crédibilité à l'ensemble même si on se dit que c'est du cinéma...

Le "Jour d'Apres" avait ce côté politiquement incorrect avec cette scène où les Américains demandaient le droit d'asile au Mexique (je me souviens encore des applaudissement dans la salle). Mais c'était du temps de la vilaine amérique de Bush Junior. La c'est Danny Obama Glover  qui s'y colle et du coup, tout le monde il est gentil, fini le politiquement incorrect, bwaerk.

Le seul point de déontologie qui aurait pu être mis en avant de façon plus subtil portait sur le fait de savoir qui a le droit de décider ou pas de qui sera sauvé, aura le droit d'embarquer sur les arches du futur. La réponse est simple : ceux qui ont le pognon. Les pauvres, ils ont le droit de prendre un giga bain et de surfer sur la plus grande vague du monde ! Bref manichéen comme vision, ah mais c'est comme ça dans la vie... Cet aspect aurait mérité un meilleur traitement, là c'est trop trop grossier et trop rapide, tout comme le scénario (en la ligne de script : c'est le fin du monde). Même son de cloche pour la fin, flamby et bâteau (oh oh oh !) à souhait.

Un dernier mot sur le casting : ouch ! aucun personnage n'est charismatique, John Cusack en tête. Rarement vu un casting aussi moisi sur un blockbuster comme ça.... Quand R. Emmerich dit que 80% du film repose sur les acteurs et qu'il n'a plus que 20% à faire, heureusement qu'il se trompe...

Conclusion.
2012 reste un blockbuster efficace et divertissant mais n'apporte pas la claque visuelle d'un " Jour d'Aprés" à son époque. Il bénéficie certes d'effets spéciaux plus élaborés mais cela ne suffit pas à compenser un casting terne et une absence de scénario assez effrayante. Et depuis il y a eu Avatar et sa 3D rendant le spectateur beaucoup beaucoup plus exigeant ... 8)
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
1.85:1
Forcément qu'elle est belle...
avec toutes ces tempêtes, éruptions, explosions, tsunamis and co ! Les gars des SFX s'en sont donné à coeur joie ! Seul problème, depuis est passé Avatar...et même le plus impressionnant des effets spéciaux reste terriblement plat sans la 3D. Mais resituons nous dans le contexte et rendons hommage au boulot effectué avec une modélisation de l'eau et des fissures splendides qui nous vaut de belles scènes de bravoure ! Par contre il va vraiment falloir améliorer la technique des fonds bleus et verts que l'on ressent désormais vraiment trop quand on passe en mode HD (le signal DVD était upscalé). Cela donne un effet toc désagréable.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Français
5.1
Anglais
5.1
Forcément c'est bruyant...
...avec ses trucs qui s'écroulent de partout, enfin la planète entière quoi. Mais bon, sans vouloir être blasé on commence à être habitué à tous ces effets sonores et visuels. Alors la piste fait son boulot pas de problème, c'est trés efficace mais déjà entendu. Quant aux versions, optez pour la VOST pour avoir l'ensemble le plus homogène et évitez le côté niais du doublage français.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
75 min
Boitier
Amaray
Menus : animés, sonorisés : classique, les deisgners ne sont pas trop foulés.
Bonus : Edition collector =  bonus collector à l'américaine : c'est officiel, ils s'aiment tous et l'avouent des qu'ils le peuvent. Ah et on devrait tous mourir en 2012.

DVD 1 :
R. Emmerich : le maitre de l'éopée moderne (VOST - 9:31) : du grand, du trés lourd bonus à l'américaine : tout lemonde s'auto-congratule au travers d'interviews réalisés pendant le tournage et s'accorde à dire que R. Emmerich est quand le plus grand de tous. Mais qui en doutait ?
5 scènes coupées (4:49 VOST) : qui n'apportent pas grand chose, sinon on les aurait gardées.
Fin alternative (3:31 VOST ) : avec du happy end en plus pas crédible pour un sous.
5 Bande-annonces (10:00 VOST)  :This is it, legion, zombieland, Boulettes geantes, Morgans

DVD 2 :
Conception de la fin du monde (26:00 VOST) : Comprendre making of du film. La aussi ultra classique, on apprend des trucs sur les effets spéciaux mais sans jamais vraiment tout voir et j'allais ounlier tout le monde a fait un boulot génial même si tout le monde croyait que c'était trop impossible et que R. Emmerich, c'est trop un ouf ce type !

Les théories scientifiques sur la fin du monde (13:19 VOST) : Bon on y apprend que les Mayas et d'autres civilisations ont prévu la fin fu monde pour fin 2012 grosso merdo, mais ils disent pas pourquoi les bougres. Alors les réalisateurs du film se sont rencardés auprès de scientifiques de tout poil pour établir une cause crédible et qui tourne autour du fait que le soleil va connaitre en 2012 un de ses cycles les plus violents à même de boulverser l'équilibre de notre planète. why not ?

La fin du monde : vision des acteurs (7:35 VOST) : N'ayez crainte les acteurs sont trop occupés à dire du bien de Roland pour philosopher sur la fin du monde ! Il s'agit de prolonger le making of en disant que chaque acteur était l'acteur parfait pour ce rôle. Le 1er qui m'explique le rapport du bonus avec son titre gagne une place pour la navette de 2012.
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage