X-Men 1.5

Titre Original
X-MEn 1.5
Genre
Pays
Usa (2000)
Date de sortie
mercredi 2 avril 2003
Durée
105 Min
Réalisateur
Producteurs
Tom DeSanto
Scénaristes
Ed Solomon
Compositeur
John Ottman
Format
Dvd 9
Informations
Complémentaires

Les griffes utilisées par Hugh Jackman / Wolverine sur le tournage étaient de cinq sortes différentes : bois, plastique, aluminium, métal et... numériques. Subissant souvent un traitement de choc lors des scènes de cascades ou de combat, elles devaient être changées très souvent. Au final, plus de 700 griffes furent ainsi utilisées par le comédien.
Langues
PCM
Label
SS.Titres Film
SS.Titres Bonus
SS.Titres Commentaire
Français
Oui
Oui
Oui
Anglais
Oui
Non
Non
Le Film
Critique de José Evrard
Editeur
Edition
Collector
Label
Zone
2
Durée Film
105 min
Nb Dvd
1


Synopsis
1944, dans un camp de concentration. Séparé par la force de ses parents, le jeune Erik Magnus Lehnsherr se découvre d'étranges pouvoirs sous le coup de la colère : il peut contrôler les métaux. C'est un mutant. Soixante ans plus tard, l'existence des mutants est reconnue mais provoque toujours un vif émoi au sein de la population. Puissant télépathe, le professeur Charles Xavier dirige une école destinée à recueillir ces êtres différents, souvent rejetés par les humains, et accueille un nouveau venu solitaire au passé mystérieux : Logan, alias Wolverine. En compagnie de Cyclope, Tornade et Jean Grey, les deux hommes forment les X-Men et vont affronter les sombres mutants ralliés à la cause de Erik Lehnsherr / Magnéto, en guerre contre l'humanité.


Critique subjective
Un pari audacieux
Difficile d'établir un scénario et une histoire à partir d'un comic-book à succès publié depuis près de quarante ans. De nombreux scénaristes se sont ainsi attelés à cette adaptation très attendue, comme Christopher McQuarrie, Ed Solomon, Joss Whedon ou John Logan. Toutefois, seuls le réalisateur Bryan Singer et David Hayter seront crédités au générique.
Et le pari était pourtant de taille. Et double. D’une part il fallait adopter une série de comics qui est considéré sans doute par de nombreux fans comme le comics n°1 au monde et d’autre part réussir enfin une adaptation de l’univers Marvel qui tienne la route. Créée par Stan Lee et publiée pour la première fois en 1963, l'aventure des X-Men est rapidement devenue un comic-book culte aux Etats-Unis, puis dans le monde. Saga lucrative et à la longévité exceptionnelle (près de quarante ans), elle est désormais publiée dans huit éditions, certaines centrées sur certains personnages (Wolverine notamment). Le film n'est pas l'adaptation d'un épisode de la BD en particulier, mais fait intervenir des personnages des différentes époques de la série.
Néophyte dans l'univers des X-Men, Bryan Singer s'est plongé dans la saga mutante pour mieux en appréhender les thèmes porteurs, les histoires et les personnages. Au final, il aura lu la totalité des comic-books estampillés X-Men, et regardé les soixante-dix épisodes de la série animée.
Pourtant X-Men n'est pas le premier (ni le dernier) comic book Marvel transposé au cinéma. Parmi les nombreuses adaptations passées et à venir, on peut citer Blade / Blade II / Blade III, Punisher, Captain America, Spider-Man The Amazing Spider-Man, Hulk, The Fantastic four, Daredevil, Ghost Rider ou encore Iron Fist. Et plus d’échec que de chef d’œuvre.
Un casting à risque chez les bons….
Véritable phénomène culturel, la saga X-Men rassemble des millions de fans à travers le monde. Des fans "gardiens du temple" qui ont suivi le processus de développement du film avec un oeil avisé, critiquant ou accueillant positivement toute nouvelle information (officielle ou officieuse) émanant du tournage, de la production ou de sources plus obscures. Ainsi, malgré une sécurité accrue autour des plateaux pour maintenir le plus grand secret possible, les rumeurs, informations et contre-informations se sont multipliées sur la toile autour d'un film aussi attendu que craint par les fans d'aventures mutantes....
Personnage le plus apprécié de la saga mutante, Wolverine devait initialement être incarné par l'Ecossais Dougray Scott. Toutefois, retenu par ses obligations sur Mission : impossible 2 (dans lequel il interprète le sombre adversaire de Tom Cruise), le comédien a laissé sa place à Hugh Jackman. Révélé mondialement grâce à ce rôle, l'Australien, quasiment inconnu avant l'aventure X-Men est désormais l'un des acteurs en vogue à Hollywood. Le comédien revient sur la popularité de son personnage : "Lorsque je me suis rendu à Toronto pour ma dernière audition, j'ai expliqué à l'officier des douanes que j'avais un rendez-vous de casting pour X-Men. Ses yeux se sont illuminés d'un coup et il m'a demandé quel serait mon rôle. Je lui répondis 'Wolverine'. 'Wolverine !'", hurla t-il au comble de l'excitation, et il sollicita sur le champ un autographe. J'avais beau protester qu'il ne s'agissait encore que d'un entretien, il n'a rien voulu rien savoir. J'ai compris alors ce que Wolverine et ses compagnons représentaient pour les fans".
Se plongeant au coeur de son personnage, Hugh Jackman a énormément travaillé pour rendre au mieux son aspect sauvage, brutal et solitaire. Parallèlement à un entraînement au combat rapproché "à la griffe", il prenait régulièrement des douches glacées pour conférer à Wolverine sa rage caractéristique. De même, pour maintenir un véritable antagonisme entre Wolverine et son adversaire direct (Dents-de-Sabre), il essaya de se rapprocher le moins possible de Tyler Mane en dehors du tournage, afin de conserver une véritable "rivalité" entre eux.
..mais aussi chez les Bad guys
X-Men marque aussi la seconde collaboration entre Ian McKellen (Magnéto) et le réalisateur Bryan Singer, après Un élève doué en 1997. Pour l'anecdote, le comédien interprétait un nazi dans ce film, et incarne dans celui-ci un survivant des camps de concentration et de l'Holocauste.
Ancien catcheur professionnel, l'impressionnant Tyler Mane (2,07 mètres pour 125 kilos) s'est vu confier le rôle physique du mutant Dents-de-Sabre. Il revient sur cette première expérience cinématographique : "Il n'y a rien d'étonnant à passer de la lutte à la comédie. Un combat se déroule sur l'arène la plus brutale, la plus dépouillée qui soit. Il vous livre en pâture à une foule qui décèle au premier regard la moindre de vos faiblesses. Sur le ring, vou devez également composer un personnage –d'ange, de bourreau, de démon...-, qui n'a rien à voir avec vous même. Si vous en êtes capables, vous n'aurez guère de difficulté à passer du ring à la scène ou aux studios".
 Le maquillage bleu de la mutante Mystique demanda de longues heures de patience à la comédienne Rebecca Romijn-Stamos, qui devait subir pendant plus entre six et dix heures les coups de pinceaux des professionnels des effets spéciaux. Au final, plus de 70 pièces de latex devaient êtres déposés sur la comédienne, dont le corps était recouvert à 60 % par les prothèses bleues. Elle tournait donc quasiment "nue", ce qui lui rendit le tournage canadien en extérieur d'autant plus pénible et difficile.
Une réussite totale
Même si on peut reprocher à Bryan Singer de ne pas avoir transposé à l’identique l’équipe des X-men, il faut avouer que son coup de génie a été de savoir rendre l’ambiance et de nous immerger dans les imbroglio politiques et raciaux du monde des mutants en deux petites heures. "Les histoires des X-Men ont une dimension allégorique évidente", explique le réalisateur Bryan Singer. "Conçues durant une période particulièrement tumultueuse (la lute pour les droit civils aux Etats-Unis), elles évoquent notamment le droit à la différence et possèdent un riche contenu social et politique. (...) X-Men montre aussi combien il est difficile d'atteindre un niveau de tolérance acceptable par tous, et mutuellement bénéfique". "X-Men est fondamentalement une allégorie anti-préjugés", reprend le producteur On y retrouve à la fois Martin Luther King et Malcolm X, et l'on voit aussi s'y profiler l'avenir de notre Espèce : Xavier rêve d'une coexistence pacifique entre hommes et mutants, alors que Magnéto, Darwinien à tous crins, estime que les mutants doivent s'imposer aux dépens des frêles humains".  Et il rajoute : " Bryan n’était pas, à priori, le réalisateur le plus évident pour un tel projet, mais la saga " X-Men " contient de nombreux éléments visuels et thématiques susceptibles de l’inspirer. X-MEN est, fondamentalement, une allégorie anti-préjugé. On y retrouve à la fois Martin Luther King et Malcom X, et l’on voit aussi s’y profiler l’avenir de notre Espèce : Xavier rêve d’une coexistence pacifique entre hommes et mutants, alors que Magneto, Darwinien à tous crins, estime que les mutants doivent s’imposer aux dépens des frêles humains. " Un avis partagé par la productrice Lauren Shuler Donner : "La série repose sur des personnages solides et complexes, et s'appuie sur des thèmes soigneusement définis, comme les préjugés ou la répression. Son message sous-jacent est clair : nous sommes tous des mutants et des inadaptés".
…même au niveau technique
Les comédiens rencontrèrent divers problèmes liés à leur garde-robe.
Ainsi, James Marsden (Cyclope), Rebecca Romijn-Stamos (Mystique) et Tornade eurent beaucoup de mal à supporter leurs lentilles de contact ou lunettes créées spécialement pour le film, dont le contact leur était insupportable et limitait leur champ de vision. De même, pensés avant tout pour leur design, les costumes de cuir des X-Men étaient loin d'êtres confortables, surtout lors du tournage de scènes d'action : confinant les acteurs dans une chaleur étouffante, ils faillirent provoquer quelques malaises, notamment à Hugh Jackman... Les griffes utilisées par Hugh Jackman / Wolverine sur le tournage étaient de cinq sortes différentes : bois, plastique, aluminium, métal et... numériques. Subissant souvent un traitement de choc lors des scènes de cascades ou de combat, elles devaient être changées très souvent. Au final, plus de 700 griffes furent ainsi utilisées par le comédien. Scène d'action centrale du film, le combat au sommet de la Statue de la Liberté a nécessité la construction d'un imposant décor, réplique aux proportions de moitié supérieures au monument original pour le confort des acteurs et de l'équipe technique. Afin de permettre une incrustation du paysage de New York en fond, cette séquence a été tournée devant le plus grand "fond bleu" jamais utilisé au cinéma.
Cameo et référence à foison pour un succés mérité
Interprète du sombre Darth Maul dans Star wars : épisode 1 - La Menace fantôme, Ray Park (Crapaud) fait un clin d'oeil à son personnage dans X-Men lors d'une scène de combat : après avoir poussé Tornade dans l'ascenseur, il s'empare d'une longue barre de fer qu'il fait tournoyer avant de s'immobiliser dans une posture d'attaque qui n'est pas sans rappeler l'art du combat au sabre laser de Darth Maul...
Créateur du comic-book original et du concept des X-Men, Stan Lee fait une courte apparition clin d'oeil dans le film. Il incarne le vendeur de hot-dogs sur la plage, lorsque le sénateur Kelly sort de l'eau.

On a pu noter aussi l’apparition en arrière plan ddes autres pensionnaires de l’Ecole pour Jeunes Surdoués du Pr Xavier : les nouveaux mutants, Iceberg…..
X-Men
a été un véritable succès au box-office, rapportant 157 millions de dollars outre-Atlantique et plus de 294 millions de dollars dans le monde. En France, 1,8 millions de spectateurs ont répondu à l'appel des mutants. C' est le premier film de la saga mutante. Il est suivi par (2003), et sans doute par de nombreuses autres suites ainsi que par des spin-off (films dérivés) très attendus, centrées sur un personnage en particulier (on parle beaucoup de Wolverine).
Les mutans, une race à part ?
C’est en 1963, au plus fort de la lutte pour les droits civils, que Stan Lee, rédacteur en chef, auteur principal et maquettiste de Marvel Comics, inventa une étrange et fascinante équipe de mutants doués de facultés hors normes, les X-men.
Comme nombre de leurs prédécesseurs sortis des presses Marvel, les X-Men sont des super héros, mais d’un genre singulier : sarcastiques, associaux, imparfaits, mais d’une endurance morale à toute épreuve. Ils luttent avec opiniâtre contre leurs propres doutes autant que contre les super méchants qui menacent a paix et la sécurité du monde.
Derrière les aventures mouvementées des X-men et leurs exploits se profile une allégorie sur le racisme, les préjugés et la tolérance, qui des sixties à nos jours a passionné des millions d’amateurs de comic books sophistiqués. Ce qui fait le charme de ce film et sans doute de la bande dessinée, c'est que les personnages sont  complexes et tourmenté contrairement  aux héros traditionnels : entre le bestial et insensible wolverine, la jeune Rogue qui voit en lui  un mentor. De nombreux thèmes chers aux fans du comics sont abordés indirectement : l'exclusion, le racisme et la peur de l’étranger, de l’Alien ‘qui en Anglais signifie l’étranger belliqueux). X-men arrive à transcender le simple film de super héros pour devenir un vrai film mettant en scène des personnages charismatique et nous renvoyant une image de nous-même somme toute troublante. La justesse du jeu des acteurs ( une confrontation entre Patrick Stewart, Professeur X, et Ian Mc Kellen, Magneto, admirable, un cyclops transparent et inconsistant, comme dans le comics original, un Wolverine superbe) donne a ce film une envergure qui le sauve des poncifs traditionnels des films d'action made in USA.
Un dernier mot
Quelques semaines avant la sortie du film, les studios Fox développèrent une stratégie marketing efficace, mettant en scène un faux message politique du Sénateur Kelly, appelant la population américaine à se méfier des mutants et à voter une loi destinée à les garder sou contrôle. Exemple Hollywoodien où lorsque le marketing et le génie créatif se rencontre, il peut en tirer une petite merveille.
L'image
Couleurs
Définition
Compression
Format Vidéo
16/9 anamorphique couleur
Format Cinéma
2.35:1


Définition et compression au top. L’image est fine et ciselée. Elle ne manquera pas de vous enchanter. Les contrastes sont très bons et le DVD retranscrit admirablement l’image cinéma et nous permet de saisir tous les détails sur tous les plans. X-Men reste une image de référence, c’est dire le soin apporté à la précédente édition qui doit pouvoir se trouver à un très bon prix avec l’arrivée sur le marché de cet update.

Le Son
Langue
Type
Format
Spatialisation
Dynamique
Surround
Anglais
6.1
Français
5.1
Français
5.1


Trois pistes nous sont ici présentées. DD 5.1 en français et en Anglais, DTS en français. Argument marketing oblige, nous avons donc une piste DTS en français. Marketing oblige, la piste DTS est mixée au moins 2 à 3 Db au dessus de la piste française DD. Ce qui donne une impression de meilleur rendu sera finalement compensé par une augmentation de volume. Sinon, les effets sont précis et parfaitement localisés, le caisson de basses retranscrira le cœur de la tempête déclenché par Tornade, les coups de griffe cingleront vos enceintes. C’est néanmoins en Anglais qu’il faudra écouter ce film rien que pour la richesse des accents , des tons adopté par les personnage et pour la perfection du mixage. A noter que c’est la même piste que pour le Z 1 est qu’elle est donc en Dolby Digital Ex D’autres raisons de choisir la piste anglaise (même si les pistes françaises sont à niveau) vous seront expliqué dans la section Bonus.

Les Bonus
Supléments
Menus
Sérigraphie
Packaging
Durée
250 min
Boitier
Digipack


Menu et interactivité
Nous sommes accueillis par le logo 20 th Century Fox relooké à la sauce X-men puis nous plongeons dans le X de fox pour arriver dans un menu stylisée  à la X-men. High Tech et futurisme sont au menu  Toutes les transitions sont animées en 3d et l’authoring est absolument fabuleux..
Bonus


DVD 1:
Nous avons le choix entre regarder le film normalement, le film avec les scènes coupées, avec les scènes coupées et les making off attachés..
 Il est dommage que les sous-titres ne s’activent pas automatiquement lors des scènes insérés (qui relèvent plus d’un montage différent que vraiment coupées) , c’est donc une des raisons supplémentaires pour regarder ce film en Vo surtout si vous choisissez cette option.

• Le commentaire audio de Bryan Singer 
Le commentaire audio de Bryan Singer se fait surtout sur un mode de questions réponses avec Brian Peck qui est un grand spécialiste des X-men. Il est dommage que ce commentaire n’ait pas été enregistré à la suite de X-men 1 car Singer est un peu trop obnubilé par le deuxième opus.

DVD 2
Ce DVD est partagé en deux sections : « X-men 2 » et « Evolution X ». Nous sommes accueilli par Bryan singer qui nous remercie d’avoir fait l’effort d’acheter cette deuxième édition
X-men 2
Le reportage inédit sur X-Men 2 : Marketing et promotion sont les deux mamelles de cette featurette qui nous met sacrément l’eau à la bouche. Ce reportage commence par une visite assez creuse (Bryan Singer est visiblement mal à l’aise) des décors. Puis au bout de 2 mns , le meilleur commence, un reportage au montage assez nerveux sur X-Men 2.
Dans cette section, on trouvera aussi la promo du jeu vidéo Activision basé sur les X-men et le teaser de Daredevil, et la bande annonce cinéma de X-MEn 2 (hélas en 2.0 et non sous-titrée.
Evolution X
• Les effets spéciaux : Partagé en plusieurs sous-sections :


Sénateur Kelly : Articulation des effets spéciaux : Dissection de la scène où le sénateur Kelly devient liquide.
Tête de la statue de la liberté
Tod/ Jean Grey
Wolwerine / Mystinque
Wolverine / Dents de Sabre : Ces 4 scènes nsous sont présentés en Multi-angles, on a le choix entre voir al scènes , l’animation 3d de la scène où les deux en m^me temps sur un écran coupé en deux et le tout en multi-angle, il va falloir être rapide car les scènes sont très courtes.


• Réflexions des X-men :
Une série d’interview des acteurs qui revienne sur le tournage et leurs personnages. Interéssant.car les acteurs jouent le jeu et leurs réflexions en sont pas aussi creuses ni auto promotionnel que d’habitude.


• Production de X-Men :
Partagé en plusieurs sous-sections :
Multi-angle , l’effet du train : Magnéto attaquant le train en mullti-angle.
Multi-angle : répétiitons de bagarre : entre Wolverine et Dents de Sabre.
Le premier ministre du Canada : Bonus surprise : le premier ministre du Canada  se fend d’une visite sur le plateau. Le gouvernement du Canada serait-il prêt à reconnaître l’existence de l’arme X ?( Private Joke que les fans de X-Men comprendront)
• Donner la vie à X-Men : Partagé en plusieurs sous-sections :
Hugh Jackman : « Première lecture «  et « Test à l’écran » : L’audition de Hugh Jackman qui est pile poil dans le bon ton dès le début.
Galerie de personnages : Les essais et les esquisses de costume pour les personnages. Ils auraient pu faire un petit effort pour le casque de Magneto.
• Le facteur X : Partagé en plusieurs sous-sections :
Essais de costumes : Cyclope et Tornade essaient leurs costumes. On s’intéressera plus particulièrement à Tornade joué par la superbe Halle Berry. On y apprend quand m^me que Halle est aveugle quand le personnage de Tornade a les yeux qui virent au blanc lors de l’utilisation de ses pouvoirs.
Maquillage de Toad (Le crapaud) : Quelle patience, en tout cas pas autant que le personnage de Mystique,Rebecca Romijn-Stamos jouait nue sous son maquillage. Ah, ce qu’on aimerait être maquilleur.
Galerie d’images : Matériel, Lieux de Tournage, Magneto et Ecole de Xavier


Un dernier mot sur les bonus
Une interactivité foisonnante, des menus superbes, on apprend des tas de choses. L’édition à posséder… pour ceux qui n’ont pas al première bien sûr. On peut regretter simplement que aucun des bonus ne traite de la Bd, de son adaptation, de son historique et de l’implication de ses créateurs dans le film. Et là pour un Fan, et ça frise le carton rouge. Non, finalement ça mérite un Carton Rouge. Mais pas de panique , il suffit d’attendre le patch. X-Men 1.6 ???
Bonus
Livret
Bande annonce
Biographies
Making of
Documentaire
Interviews
Com. audio
Scènes sup
Fin alternative
Galerie de photos
Story board
Multi-angle
Liens internet
Interface Rom
Jeux intéractifs
Filmographies
Clips vidéo
Bêtisier
Bonus Cachés
Court Metrage